Guide pratique simplifié des AOD

Le Cardiologue est partenaire du CNCF pour la parution de ce guide. Les anticoagulants oraux directs constituent un véritable progrès thérapeutique dans la prise en charge de la fibrillation atriale et répondent au cahier des charges de l’antithrombotique tant attendu des thrombologues : un usage oral, une dose fixe, une large fenêtre thérapeutique, un meilleur rapport efficacité/tolérance, sans interférence alimentaire, sans nécessité de surveillance biologique régulière.

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Sommaire

 

1. Les principales caractéristiques des AOD

Principales caractéristiques des anticoagulants oraux

Indications et posologies des anticoagulants oraux directs (AOD)

Profil clinique des patients ne devant pas recevoir d’AOD

2. La prescription contextualisée des AOD

Stratification des risques thrombotique et hémorragique dans le cadre de la FA

Choix de l’anticoagulant en cas de fa chez la femme ou chez l’homme

Modalités d’instauration du traitement par AOD

Surveillance et suivi d’un patient sous AOD

AOD : anticoagulant a ne pas omettre chez le decati

AOD et « vulnerabilite » : appliquer la règle des 5C

Surveillance biologique des AOD

Dosages specifiques des AOD

Impact sur les tests de coagulation classiques ou de routine

Impact sur les tests de coagulation du bilan de thrombophilie

Tests du bilan de thrombophilie realisables sous AOD

3. La gestion des actes invasifs ou chirurgicaux

Gestion du traitement par aod en cas de geste invasif ou chirurgical programme

AOD et actes endoscopiques digestifs

Anticoagulants et soins dentaires ou stomatologiques

Protocole d’arrêt et de reprise d’un aod pour une chirurgie ou un acte invasif

Chirurgie en urgence et gestion des AOD

4. La gestion des complications hémorragiques

Gestion des hemorragies sous anticoagulant oral

Gestion des hemorragies sous AOD

Gestion d’une hemorragie chez un patient traité par dabigatran

Agent de reversion specifique et exclusif du dabigatran

Gestion d’une epistaxis sous AOD

Initiation ou reprise du traitement anticoagulant en cas d’hémorragie cérébrale

Modalités d’initiation du traitement anticoagulant en cas d’AVC

5. Les gestes en cardiologie

Cardioversion (cv), FA et AOD

Syndrome coronaire aigu (SCA) et FA sous AOD

Durée de l’association antiplaquettaire anticoagulant en cas de SCA

Ablation, FA et AOD

6. Les comédications, associations et interactions

Interactions medicamenteuses et AOD

Gestion pratique et modalites d’un relais par AOD

Education therapeutique et carte




Mort du tiers-payant généralisé : une victoire pour la CSMF

Enfin un premier acte pour retrouver la confiance des médecins libéraux. La ministre de la santé Agnès Buzyn a annoncé dimanche 22 octobre que l’engagement du Président de la République de rendre le tiers-payant « généralisable », et non généralisé, serait tenu.

En clair, le tiers-payant restera possible mais ne deviendra pas obligatoire. Cette décision est à mettre au crédit de la CSMF qui, résolument opposée à un tiers-payant obligatoire pour tout et pour tous, défend depuis toujours le tiers-payant social pour les populations défavorisées (CMU, ACS), et au-delà, laissé à l’appréciation du médecin.

Le rapport de l’IGAS remis à la ministre donne également raison à la CSMF sur l’infaisabilité technique de la mise en place d’un tiers-payant généralisé. Elle n’a eu de cesse de dénoncer le casse-tête administratif et bureaucratique engendré par un tel dispositif faisant du médecin un contrôleur au lieu d’un soignant et qui, au final, pénaliserait le patient. Rappelons que la CSMF a proposé, lors de la concertation sur la loi de santé en 2015, une alternative qui a été totalement ignorée : le paiement monétique à débit différé santé.

Communiqué de presse du Président, Jean-Paul Ortiz.




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