(Medscape – Vincent Richeux) Chez les patients présentant une cardiomyopathie non ischémique, la décision de poser un défibrillateur automatique implantable (DAI) s’appuie désormais sur plusieurs scores de risque basés sur la génétique. Au cours des Journées Européennes de la Société Française de Cardiologie (JESFC 2025), une présentation a fait le point sur ce changement majeur… [Lire la suite]