Soutien aux internes en grève

Les organisations représentant les cardiologues français, qu’ils soient Universitaires, Hospitaliers ou Libéraux expriment leur soutien unanime aux internes en grève à partir du 18 avril, pour demander un aménagement de la maquette de leur diplôme de spécialité permettant une formation à 5 ans et le maintien des postes de post-internat, nécessaires notamment pour la formation aux surspécialités.




Assemblée générale : Compte rendu

Le Docteur Perchicot ouvre la séance, ce samedi 28 janvier, en remerciant les présents. 

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Election présidentielle : la FMF présente son plan « de renouveau » pour la santé à 42 milliards d’euros

Son président, le Dr Jean-Paul Hamon, a dévoilé le 25 janvier 2017 au cours d’une conférence de presse les principales mesures proposées aux candidats à l’élection présidentielle sous la forme d’un plan de « renouveau » pour la santé financé par 42 milliards € d’économies.

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Le CNOM et la CSMF appellent les pouvoirs publics à assurer la sécurité des médecins

Les 2 instances, dans des communiqués distincts, ont interpellé le Gouvernement en réclamant la mise en œuvre de mesures destinées à assurer la sécurité des médecins, après le meurtre d’un généraliste survenu le 2 février à Nogent-le-Rotrou (Eure-et-Loir).

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CSMF Jeunes Médecins : les jeunes médecins aux négociations conventionnelles

La CSMF Jeunes Médecins a pris note de la volonté de Mme la ministre de la Santé d’autoriser les représentants des jeunes médecins à avoir le statut d’observateur lors des négociations conventionnelles, et s’en réjouit. 

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – La parole aux régions

Un tour de table permet à chaque région d’exprimer les problèmes rencontrés localement. A l’issue de ce tour de table il ressort quelques points principaux :

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – UFCV : bilan des actions 2016

Pour le DPC l’indemnisation est devenue horaire : 45 Ä/h par programme avec 21 heures de formation/an (un maximum de 10 heures consécutives est autorisé en cas de réunions présentielles).

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – Télémédecine

Le Docteur Perrard rappelle qu’à la suite de l’article 36 un projet a été élaboré, sous l’égide du Syndicat,  pour les cardiologues libéraux concernant le suivi des insuffisants cardiaques.

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – Litiges et contentieux

Il rappelle que les litiges portent essentiellement sur les règles toujours méconnues de la CCAM : par exemple il n’est plus possible de coter deux actes échographiques ensemble. 

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – Cardiologue presse

n 2016, il y a eu 10 numéros (pas de parution en juillet et août), dont 4 parutions en version numérique ; pour 2017 le même schéma sera reproduit.

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – Rapport avec les centrales polycatégorielles

Le Docteur Perchicot souligne la nécessité d’avoir des relations avec les centrales syndicales qui seules siègent au sein des différentes instances.

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – Rapport financier

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – Actualités politiques et syndicales

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – Rapport moral du Président

Ecrire un rapport moral, c’est d’abord regarder derrière soi, pour se souvenir de ce qui s’est passé pendant l’année écoulée. Dans un premier temps, j’ai relu le rapport que je vous ai présenté fin janvier 2016.

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – Election du conseil d’administration

Le Docteur Perchicot rappelle que cette assemblée générale est appelée à renouveler les membres du Conseil d’Administration pour une période de trois ans. Les candidatures ont bien été reçues 72 heures avant la tenue de cette réunion, comme le prévoit les statuts.

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – MACSF

La MACSF se propose de signer un partenariat avec le SNSMCV pour un accompagnement pérenne avec réseaux d’interlocuteurs dédiés.

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – Conseil National Professionnel de Cardiologie

Le Professeur Jean-Yves Le Heuzey est le président de la SFC depuis janvier 2016, c’est lui qui assurera en 2017 la présidence du Conseil National Professionnel de Cardiologie.

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Assemblée Générale – 28 janvier 2017 – Réunions avec les internes

Le Docteur Villacèque a participé aux réunions annuelles organisées par la SFC auprès des internes : en janvier et septembre 2016 et en janvier 2017. 

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Liste nominative du conseil d’administration

Mandat de janvier 2017 à janvier 2020

BUREAU

Président

Docteur Jean-Pierre BINON – Délégué UMESPE

 

Vice-présidents

Docteur Patrick ASSYAG

Docteur Elisabeth POUCHELON (née PELOUZE)

Docteur Vincent PRADEAU

Docteur Mikhael RAPHAEL

 

Secrétaire Général

Docteur Frédéric FOSSATI

 

Secrétaire Général adjoint

Docteur Thierry CARRIERE

 

Trésorier

Docteur Patrick ARNOLD

Trésorier Adjoint

Docteur Marc VILLACEQUE

 

Relations avec les URPS

Docteur Jean-Baptiste CAILLARD

 

Responsable juridique

Docteur Grégory PERRARD

 

Echocardiographie

Docteur Pascal TOBAN

 

Cardiologie interventionnelle

Docteur Patrick JOLY

 

Rythmologie interventionnelle

Docteur Arnaud LAZARUS

 

Relations avec les institutions

Docteur Eric PERCHICOT

Docteur Alain COURTAULT – Délégué FMF

Docteur Marc THOMAS – Délégué SML

 

Le Cardiologue

Docteur Christian AVIERINOS

 

  1. AUTRES MEMBRES DU CONSEIL D’ADMINISTRATION

Docteur Marwan ABICHACRA

Docteur Serge ASSOULINE

Docteur Pierre-Antoine AYRIVIE

Docteur Jacques BERLAND

Docteur Khaled BOUCHLAGHEM

Docteur Christian BRETON

Docteur Jean-Pierre CEBRON

Docteur Bernad DEQUIDT

Docteur Guillaume FLEURY

Docteur Yves-Michel FLORES

Docteur Gaston FOUCHERES

Docteur Dominique GUEDJ-MEYNIER

Docteur Maxime GUENOUN

Docteur Anahita KOWSAR

Docteur Philippe LANG

Docteur Jean-François LE PODER

Docteur Pierre MARETTE

Docteur Joël OHAYON

Docteur Christian SCHANDRIN

Docteur Christian TER SCHIPHORST

Docteur Jean-Marc VIGNE

Docteur Jean-Michel WALCH

 

Délégations

 

UMESPE

Délégué : Dr Jean-Pierre BINON

Suppléant : Dr Eric PERCHICOT

SML

Délégué : Dr Marc THOMAS

Suppléant : Dr Pierre-Antoine AYRIVIE

FMF

Délégué : Dr Alain COURTAULT

UEMS

Délégué : Dr Grégory PERRARD

 

Présidents d’honneur

Docteur Claude BERGOGNE (janvier 1978 à janvier 1984, puis juin 1987 à mars 1990)

Docteur Henri LAFONT (janvier 1984 à juin 1987)

Docteur Yves DECALF (mars 1990 à janvier 1993)

Docteur Jean-Paul LETOUZEY (janvier 1993 à février 1996)

Docteur Christian AVIERINOS (janvier 1999 à août 2006)

Docteur Jean-François THEBAUT (août 2006 à janvier 2011)

Docteur Christian ZICCARELLI (de février 2011 à janvier 2014)

Docteur Eric PERCHICOT (de janvier 2014 à janvier 2017)

 

 

Membres d’honneur

Docteur Henri MALATERRE

Docteur Jean-Yves FRABOULET

Docteur Gérard JULLIEN

Docteur Jean-Louis NEIMANN

Docteur Serge RABENOU

Docteur Clément ROOS




Un nouveau président pour le Syndicat des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux

A l’issue de l’Assemblée Générale du 28 janvier dernier, un nouveau Conseil d’Administration a été élu. Le nouveau président du Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux, élu lors du Conseil d’Administration du 29 janvier 2017, est le Docteur Jean-Pierre Binon.




Pas de tiers-payant obligatoire

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Adieu 2016

Vendredi 9 décembre s’est tenu le dernier Conseil d’Administration du Syndicat National de l’année 2016. Celle-ci a été marquée par l’adoption de la loi de santé de Marisol Touraine, la conclusion de la convention médicale pour la période 2016/2021 et l’adoption il y a quelques jours de la loi de financement de la Sécurité Sociale 2017. L’analyse de ces documents ne montre rien de réjouissant pour la médecine libérale. Le tiers-payant généralisé obligatoire est maintenant inscrit dans la loi, la première augmentation de tarif concernant les cardiologues (2 € de plus sur la CSC) n’arrivera que, si tout va bien, le 1er juillet 2017 et la loi de financement de la Sécurité Sociale par son article 99 autorise le directeur général de l’Assurance Maladie à réviser les forfaits techniques des actes d’imagerie en coupe (scanner et IRM), porte ouverte à l’avenir à vider de substance la convention médicale de tout son volet tarifaire.

Parallèlement la réingénierie des professions de santé est en mouvement. Ce détricotage souhaité par (sans ordre préférentiel) les sages-femmes, les pharmaciens, les infirmiers est envisagé aux dépens d’activités jusque-là réservées aux médecins.

L’avenir n’est donc pas réjouissant, mais le pire n’est jamais sûr. À la médecine libérale de démontrer un pouvoir de réflexion, d’organisation et d’adaptation qui seul lui permettront de ne pas disparaître.

Dans l’immédiat, nous allons rapidement vous proposer une affiche pour salle d’attente pour affirmer clairement l’opposition du Syndicat National au tiers-payant généralisé obligatoire et expliquer à nos patients ses raisons.

Dans la nouvelle convention le Contrat d’Accès aux Soins change de nom et devient l’OPTAM (OPtion TArifaire Maîtrisée…). Le contenu reste le même avec petit bonus puisque, en cas d’une éventuelle augmentation de tarif d’un acte, la moitié de cette augmentation pourra être prise en compte par le médecin.

Nous vous engageons par ailleurs à respecter les règles de nomenclature car les contentieux avec les caisses locales commencent à se multiplier et découlent dans l’immense majorité des cas d’une méconnaissance des règles générales d’application de cette nomenclature.

2017 va donc être une année de combat, mais nous en avons maintenant l’habitude. Nous avons plus que jamais besoin de votre soutien et de votre engagement pour continuer à faire face aux multiples sollicitations institutionnelles que nous recevons. En particulier, l’outil télémédecine se développe très rapidement et peut se révéler un atout ou un nouveau moyen d’affaiblir la pratique libérale de la médecine. Même si nous sommes à quelques jours de la fin de l’année, il n’est pas trop tard pour vous acquitter de votre cotisation syndicale, témoin de la confiance que vous nous témoignez. Notre niveau de représentativité est vraiment l’atout capital de notre crédibilité. Vous pouvez, facilement, en cliquant ici vous acquitter en quelques clics de ce geste solidaire.

Encore merci de votre confiance, bonnes fêtes de fin d’année à chacun d’entre vous.

 

Très amicalement

 

Docteur Eric PERCHICOT,

Président.




L’été indien ne dure jamais longtemps

La convention médicale signée par MG-France, le Bloc et la FMF le 26 août dernier va s’appliquer puisqu’à ce jour aucun recours n’est venu l’invalider.

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Rendez-vous raté

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux a pris acte de la signature d’une nouvelle convention entre les médecins libéraux et l’Assurance Maladie le 25 août 2016.

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux a pris acte de la signature d’une nouvelle convention entre les médecins libéraux et l’Assurance Maladie le 25 août 2016.

Malgré tout ce qui est écrit dans la presse le C reste figé à 23 euros, ce n’est que par le biais d’une majoration que la valeur de l’acte de base sera amenée le 1er mai 2017 à 25 euros.

Les autres majorations sont reportées après les élections présidentielles et seront soumises à l’avis du comité d’alerte qui aura toute légitimité à les suspendre en cas de risque de dérapage de l’ONDAM.

La CCAM technique est oubliée à l’exception de quelques actes de chirurgie, choisis sur des critères qui nous échappent, et réévalués par des modificateurs qui dénaturent complétement l’esprit initial de la classification commune des actes médicaux.

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux condamne l’aggravation du déséquilibre grandissant dans la prise en charge des actes suivant le secteur d’exercice du praticien ainsi que la pénalisation financière des patients qui en découle.

Les modes de rémunération entremêlés : nomenclature des actes professionnels, forfaits, Rémunération sur Objectif de Santé Publique et participations variables aux charges sociales, forment une usine à gaz de plus en plus complexe, très éloignée d’un modèle économique libéral.

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux salue et soutient la position de la CSMF qui, avec courage et clairvoyance, a refusé de s’associer à la signature d’une convention déséquilibrée, sans ambition, et sourde à l’attente des jeunes générations.

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux réitère ses appels successifs à une remise à plat complète des modes de financement de la médecine libérale pour l’adapter aux réalités des enjeux de santé et permettre à tous de pratiquer une médecine de qualité basée sur la pertinence des actes et l’efficience des parcours.

Si cet objectif dépasse le cadre des discussions conventionnelles, celles-ci auraient pu marquer le début d’une réflexion globale sur l’organisation territoriale, la coopération ville-hôpital, la délégation de tâches et la coordination des soins autour du patient   et développer des modes de rémunération privilégiant la qualité à la quantité.

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux continuera à œuvrer à cet objectif qui nécessitera du courage chez tous les acteurs et le retour de la confiance les uns dans les autres.

Docteur Eric PERCHICOT,

Président.




L’information dans les cabinets médicaux

Chères Consœurs,

Chers Confrères,

Chers amis,

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux a signé un contrat de partenariat avec la société Canal 33, spécialisée dans l’offre de programmes vidéo pour les salles d’attente des cabinets médicaux.

Au terme de ce partenariat, les cardiologues libéraux ont la possibilité de proposer à leur clientèle des programmes variés, sur des cycles de 80 minutes, sans publicité pharmaceutique, agrémentés d’informations d’intérêt général pour leur santé, sur l’hygiène de vie, ainsi que des messages plus spécifiquement cardiologiques, établis sous la responsabilité du Syndicat National. Enfin, chaque cardiologue aura la possibilité d’informer par ce biais sa patientèle des caractéristiques propres à son activité.

Ce service, mis à jour mensuellement, vous sera proposé par la Société Canal 33* au tarif préférentiel, en tant qu’adhérent au Syndicat National, de 12 € HT par mois (tarif habituel : 19 €HT/mois), évaluation de la faisabilité dans votre salle d’attente, matériel, installation et maintenance compris.

Nous vous engageons répondre favorablement à cette proposition, très certainement utile à vos patients et qui pourra nous permettre de plus de faire passer auprès de notre clientèle les informations sur les évolutions du monde de la santé, qui les concernent directement, de façon régulière.

Très amicalement.

Docteur Eric PERCHICOT,

Président.

 

*Chrisys LECLERCQ  

03 28 16 33 00 – cleclercq@canal33.fr

CANAL33 – 12 rue de Cannes BP 232 – 59018 LILLE Cedex




L’été sera chaud !

Chères Consœurs,

Chers Confrères,

Chers amis,

 

Depuis le 1er juillet, le tiers-payant peut être appliqué à tous les patients en ALD. Cette possibilité est à la discrétion du médecin. Soyez vigilants, il semble que, lors de la mise à jour des logiciels métiers, l’option tiers-payant soit celle par défaut de beaucoup de logiciels. Vérifiez votre matériel pour ne pas être en butte à une demande d’indus de l’Assurance Maladie.

Sur le principe notre position n’a pas changé : nous sommes opposés au tiers-payant généralisé obligatoire car il est certain que cette modalité va dégrader la relation médecin patient quoi qu’en disent les pouvoirs publics. À nous tous, de continuer à ne pratiquer le tiers-payant que dans les cas que nous jugeons nécessaires.

Je vous rappelle que vous avez la possibilité d’effectuer un audit social et patrimonial, très utile pour ne pas dire indispensable pour anticiper vos besoins quand vous aurez cessé vos activités professionnelles. Vous trouverez en pièce jointe le formulaire à retourner à AG2R La Mondiale (Tél 0970 808 8085) pour bénéficier de ce service. Les retours que nous en avons sont très positifs. Vous n’avez aucun engagement de quelque ordre que ce soit avec AG2R.

Je vous rappelle également que vous pouvez vous abonner dans des conditions privilégiées (pour les syndiqués) à Canal 33 .(rappel de la circulaire de mars ci-dessous Tél : 03 28 16 33 00 – cleclercq@canal33.fr), support d’information pour vos salles d’attente. Progressivement des informations de santé publique et des messages d’accompagnement thérapeutique seront proposées par le Syndicat, en plus des informations personnelles que vous pouvez y inclure.(rappel de la circulaire de mars ci-dessous).

« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent ». Albert Einstein résume parfaitement l’impression que me laisse la négociation conventionnelle en cours. Partant des mêmes postulats et refusant de regarder les réalités économiques et sociétales, les partenaires conventionnels sont dans une impasse. Avec les moyens contraints que propose l’Assurance Maladie, il n’y a aucun espoir de satisfaire la médecine libérale. Par manque de courage et en l’absence de toute confiance entre les partenaires, il n’est pas envisageable de reconstruire notre système de santé, seule manière pourtant d’améliorer la qualité de prise en charge de la population et de permettre aux médecins de travailler dans des conditions où le stakhanovisme ne serait plus la seule solution pour maintenir ses revenus.

Quel sera le résultat de la négociation ? Nous le serons au cours de l’été, mais je ne vois pas aujourd’hui comment l’issue pourrait être favorable.

Avant de prendre quelque repos estival mérité, je vous serais très reconnaissant de penser, pour ceux qui ne l’ont déjà fait, à vous acquitter de votre cotisation syndicale 2016. Le poids et la crédibilité du syndicat national des spécialistes du cœur et des vaisseaux dépendent de vous.

Nouveauté : d’ici quelques jours, vous en serez informés, vous aurez la possibilité de vous acquitter de votre cotisation en ligne, par Internet.

Bon été à tous.

Amicalement.

Docteur Eric PERCHICOT,

Président.




AG – 30 janvier : CNPC

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AG – 30 janvier : UFCV – bilan des actions 2015

Le Dr Pouchelon et le Dr Assyag présentent le bilan des réunions de l’année 2015. Toutes ces données seront développées lors de l’assemblée générale annuelle de l’UFCV. 

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AG – 30 janvier : Rapport avec les centrales polycatégorielles

Le Dr Perchicot souligne la nécessité d’avoir des relations avec les centrales syndicales. La nouvelle convention va être très importante pour la médecine libérale, les négociations sont en cours entre les différents syndicats pour rechercher un socle commun à opposer au Ministère et l’Assurance Maladie. 

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AG – 30 janvier : URPS

Le Dr Perchicot signale la possible régionalisation des politiques de santé, prévue par la loi. Demain, les URPS seront les interlocuteurs des ARS d’où l’importance d’avoir des cardiologues « syndiqués » élus.

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AG – 30 janvier : Actualités politiques et syndicales

Le Dr Perchicot présente plusieurs diapositives concernant le CAS : le taux de tarifs opposables pratiqués par les secteurs 2 et DP est passé de 49,7 % en 2011 à 52,6 % en 2014 pour les cardiologues,

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AG – 30 janvier : Rapport moral du Président

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AG – 30 janvier : Rapport financier

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AG – 30 janvier : UEMS

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AG – 30 janvier : Litiges et contentieux

Au cours de l’année 2016, nous avons été sollicités sur un contentieux, alors que les cardiologues ne respectaient pas réellement les dispositions générales de la nomenclature (malades vus trop souvent, ETT à répétition, actes antidatés, facturation en CS des MAPA…)…

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AG – 30 janvier : La parole aux régions

Un tour de table permet à chaque région d’exprimer les problèmes rencontrés localement. A l’issue de ce tour de table, il ressort quelques points principaux :

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AG – 30 janvier : Convention pour un audit social des cardiologues

AG2R La Mondiale et le Syndicat ont signé un partenariat offrant la possibilité, dans un premier temps réservée aux cardiologues syndiqués, de rencontrer un conseiller expert

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AG – 30 janvier : Cardiologue Presse

Le Dr Aviérinos fait le point sur le journal et l’activité de Cardiologue Presse. 

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AG – 30 janvier : CANAL 33

Une autre convention a été également signée entre le Syndicat et Canal 33 permettant la mise en place de programmes vidéo pour les salles d’attente de cabinets médicaux.

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Les cardiologues se connectent avec leurs patients

Les objets connectés peuvent-ils participer à l’amélioration de la prise en charge des patients hypertendus ou des cardiaques chroniques ?

C’est la question que s’est posée l’UFCV (Union de Formation et d’évaluation en médecine CardioVasculaire), filiale de formation du Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux, et à laquelle espèrent répondre les cardiologues libéraux.

Ils viennent de terminer l’inclusion de 50 patients hypertendus dans l’étude SOPHOC (Suivi Observationnel de Patients Hypertendus par les Objets Connectés), étude élaborée par la commission santé numérique de l’UFCV.

Constatant l’essor des objets connectés, les cardiologues libéraux ambitionnent d’en faire un outil partagé avec leurs patients pour améliorer le suivi des mesures hygiéno-diététiques, de l’activité physique et du traitement des hypertendus. Les objets connectés étant, à ce jour, surtout étudiés chez les personnes bien portantes, il est apparu utile d’évaluer l’apport de ces technologies chez les malades.

Loin des protocoles lourds et dispendieux les cardiologues ont choisi d’utiliser des objets connectés déjà existants (partenariat avec la société française Withings), en observant tout simplement dans la vraie vie l’effet des objets connectés sur leurs patients, associés à quelques messages spécifiques ajoutés dans l’application Withings.

Ainsi, des cardiologues libéraux de toute la France et de tous âges, non nécessairement « geeks », ont proposé une montre et un appareil tensionnel connectés aux patients de la vraie vie (souvent âgés et pas toujours à l’aise avec les nouvelles technologies).

Rendez-vous dans six mois pour les premiers retours sur l’acceptabilité d’une telle prise en charge par les patients et leurs cardiologues puis à un an pour les résultats complets en termes d’acceptabilité, de faisabilité mais peut-être aussi d’efficacité sur le respect des mesures hygiéno-diététiques et de l’activité physique, le contrôle de la pression artérielle et le bilan lipidique.

 

Contacts :

Docteur Elisabeth Pouchelon : 06 37 72 00 71

Docteur Marc Villacèque : 06 82 43 36 83

SNSMCV 13 rue Niepce 75014 – Tél 01 45 43 70 76

 

Comptes Twitter :

https://twitter.com/cardionumerique [@cardionumerique]

https://twitter.com/syndicardio [@syndicardio]

 

Sites Internet :

www.syndicardio.org

www.ufcv.org

www.lecardiologue.org




Journée santé morte

Chères Consœurs,
Chers Confrères,
Chers amis,

Le conseil d’administration du Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux a décidé à l’unanimité, le 29 octobre, d’appeler l’ensemble des cardiologues libéraux à s’associer à la journée santé morte du 13 novembre prochain.

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux constate que, malgré le rejet quasi unanime du projet de loi de santé par l’ensemble des organisations syndicales médicales libérales représentatives, le pouvoir politique s’obstine aveuglément à imposer une loi de santé qui, quoi qu’en dise notre ministre, Madame Marisol Touraine, vise à mettre la pratique libérale de la médecine dans un carcan administratif qui va l’étouffer à mourir.

Le passé récent a appris à tous que les promesses et engagements de nos responsables nationaux vers le monde libéral de la santé sont toujours restés lettre morte.

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux ne croit plus à la bonne volonté des acteurs politiques publics et affirme que la loi en gestation vise à mettre sous la coupe des agences régionales de santé et à la disposition de l’hospitalisation publique les professionnels de santé libéraux.

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux constate avec satisfaction que l’ensemble des syndicats représentatifs appelle à manifester le vendredi 13 novembre.

Ce front syndical unitaire doit se structurer car la lutte s’annonce encore longue.

Chers amis, nous sommes conscients qu’il est difficile et compliqué d’organiser, dans le respect des patients, en une dizaine de jours l’arrêt de son activité professionnelle.

Cet effort réel nous paraît indispensable pour montrer aux responsables politiques nationaux que nous avons encore la tête haute et que nous lutterons jusqu’à l’obtention d’un projet qui prenne en compte et valorise la médecine libérale dans l’intérêt de toute la population.

Cardiologues libéraux, participons tous à la journée santé morte le 13 novembre prochain.

Ensemble, ne lâchons rien !

 

Docteur Eric Perchicot,
Président.




Communiqué de presse

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux a pris acte des deux enseignements émergeant du résultat des élections du 12 octobre pour le renouvellement des unions régionales des médecins libéraux :
• l’abstention, de près de 60 %, qui progresse élections après élections. Elle doit être prise en compte pour éviter que se creuse un fossé entre la communauté médicale libérale, les plus jeunes générations en particulier, et la représentation syndicale.
• la perte d’audience de la CSMF au profit de syndicats à l’image plus contestataire, réalité qui fait que, aujourd’hui, aucune structure syndicale ne peut revendiquer un leadership incontestable pour conduire les négociations qui vont s’ouvrir dans quelques mois pour la future convention médicale.

La présence de cinq structures représentatives au poids comparable peut se révéler un handicap rédhibitoire en face des pouvoirs publics et signer la disparition à terme de la médecine libérale. En revanche, cela peut être un atout si CSMF, FMF, Le BLOC, MG-France et SML sont capables de définir une plate-forme commune comme base aux futures négociations.

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux appelle donc l’ensemble des structures syndicales à se concerter avant toute discussion avec l’Assurance Maladie et le ministère.

Il va falloir courageusement nous positionner sur : la démographie médicale, la régulation et l’organisation territoriale, la pertinence des actes qui doit déboucher sur un mécanisme augmentation des tarifs/diminution des volumes, un espace de liberté tarifaire pour tous les praticiens, la délégation de tâches et les relations avec les autres professions de santé sans dépeçage de la pratique médicale, la place de la médecine libérale dans la permanence et la continuité des soins, la coordination ambulatoire et avec la médecine hospitalière…

Le chantier est immense, aussi le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux exhorte l’ensemble de la communauté médicale libérale à le prendre à bras-le-corps, sans a priori et en oubliant les querelles et les dogmes d’un passé révolu.

Le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux appelle solennellement l’ensemble des syndicats à se retrouver rapidement pour mettre sur pied un front intersyndical libéral et travailler à élaborer l’architecture de la médecine libérale de demain.

Il est urgent de sortir de postures électoralistes et d’agir pour le bien commun.




Pas de quoi être fière…

Chères Consœurs,

Chers Confrères,

Chers amis,

L’Assemblée Nationale a adopté mardi 14 avril en séance solennelle le projet de loi de modernisation du système de santé par 311 voix contre 241.

Le texte de 58 articles n’est guère différent de celui présenté en Conseil des ministres le 15 octobre 2014. Il se vérifie que les réunions de concertation organisées en urgence par le ministère étaient plus du ressort de la communication que d’une prise de conscience réelle des faiblesses du texte.

Pire même, certains amendements ont aggravé le caractère négatif et antilibéral de l’ensemble du projet.

L’article 12 définit l’équipe de soins primaires organisée autour du médecin généraliste de premier recours.

L’article 12 bis instaure la création de communautés professionnelles territoriales de santé, sorte d’usines à gaz fourre-tout, où pourront se côtoyer autour d’une ou plusieurs équipes de soins primaires, acteurs médico-sociaux, sociaux et même… médecins spécialistes libéraux.

L’article 18, sur la généralisation de la dispense d’avance des frais en ville, confirme que le tiers-payant sera un droit pour tous les Français au 30 novembre 2017. Il sera même une obligation pour les médecins dès le 31 décembre 2016 pour les patients en ALD.

L’article 26 instaure le Service Public Hospitalier auquel ne seront habilités que les établissements privés sacrifiant l’intégralité des dépassements d’honoraires des médecins y exerçant, alors même que l’activité libérale des médecins hospitaliers est toujours autorisée.

L’article 30 définit la notion de pratiques avancées pour les professions paramédicales, celles-ci s’inscrivant dans le cadre d’une équipe de soins de premier recours autour du médecin traitant.

L’article 34 renforce l’encadrement de l’activité libérale l’hôpital confirmant que celle-ci n’est pas incompatible avec le statut de Service Public Hospitalier.

L’article 35 missionne la HAS pour élaborer des fiches de bon usage et établir un guide des stratégies diagnostiques et thérapeutiques efficientes.

L’article 41 autorise les ministres chargés de la Sécurité Sociale et de la Santé à fixer le cadre de la négociation des accords conventionnels entre Assurance Maladie et professionnels de santé libéraux. Il prévoit également des possibilités d’adaptation régionale des conventions nationales.

Voilà, brièvement résumé, les différents articles de la loi dont l’objectif est d’organiser la prise en charge de la population autour d’équipes de soins de premiers recours coordonnés par le médecin traitant et de l’hôpital public sous l’arbitrage d’Agences Régionales de Santé dont les pouvoirs sont accrus et malheureusement l’appétence hospitalière publique jamais démentie.

La médecine libérale spécialisée est la grande absente de ce projet de loi.

Ceci dit, chers amis, il ne faut pas baisser les bras. Le combat doit continuer au Sénat et auprès de la population qui n’a rien à gagner à la disparition de la médecine spécialisée libérale. Il va nous falloir répéter et répéter que le médecin n’est pas un professionnel de santé comme les autres, et que la prise en charge des pathologies chroniques en ville ne peut se faire de façon efficiente sans l’expertise des médecins spécialistes, en étroite relation avec le médecin traitant. Les délégations d’activité dans un système raisonnable doivent être protocolisées essentiellement autour de la prévention et de l’éducation thérapeutique.

Mercredi 15 avril, le ministère des finances a présenté un projet de budget pluriannuel à l’adresse de la Commission européenne où il précise les économies supplémentaires demandées instamment depuis plusieurs semaines par Bruxelles. Parmi ces mesures nouvelles, l’ONDAM 2016 est révisé à 1,75 % au lieu des 2 % initialement prévus…

Comment concilier toujours plus d’économies, avec un hospitalo-centrisme invétéré dont on connaît le coût prohibitif ?

La qualité et l’efficience reconnue de la médecine libérale sont deux atouts qui doivent nous aider à ne pas désespérer de l’avenir.

Amitiés.

Docteur Eric Perchicot

Président.




Les dindons de la farce ?

C’est la question que peuvent légitimement se poser les médecins spécialistes libéraux en observant la tournure que prend l’examen du projet de loi de santé à l’Assemblée Nationale. Le Gouvernement a introduit, en plusieurs temps, une pluie d’amendements à son projet de loi, présenté initialement en juin puis adopté en conseil des ministres en octobre 2014. Ce cas de figure exceptionnel montre à quel point ce projet de loi a été mal conçu.

Le Gouvernement essaye maintenant de briser l’isolement total dans lequel il se trouve, et le rejet unanime de sa loi par la totalité des syndicats représentant le corps médical libéral. Son objectif évident est de séduire la médecine générale dans la volonté de rompre l’unité syndicale. Pour ce faire, promesse est faite aux médecins généralistes que le virage ambulatoire se fera en les « affirmant comme pivot des équipes de soins de proximité ». Tous les dispositifs de soins et d’accompagnement des malades seront placés sous la « responsabilité du médecin traitant, qui sera seul en position de déclencher la coordination des soignants autour d’une plate-forme territoriale ». Dans le même esprit est envisagé un renforcement de l’articulation entre médecine de ville et hôpital avec la possibilité par des médecins hospitaliers d’exercer en libéral hors les murs de l’hôpital.

Ce montage, bricolé dans l’urgence, occulte complètement plus de la moitié du corps médical libéral, en faisant disparaître aux oubliettes toutes les spécialités autres que médecine générale.

Stop ! Non à un replâtrage dans l’urgence.

Nous réaffirmons notre adhésion à l’ambition de la stratégie nationale de santé du virage ambulatoire de la prise en charge de la santé et de l’optimisation de l’offre de soins, mais celles-ci méritent une réflexion sereine pour déboucher sur un projet équilibré, entre le premier recours où aucun médecin de terrain ne conteste le rôle central du médecin traitant, la médecine spécialisée ambulatoire qui en est  la suite naturelle et, enfin, l’échelon de l’hospitalisation.

Pour atteindre cet objectif, le rejet de la version actuelle du projet de loi par le Parlement est indispensable, pour donner le temps nécessaire à une réécriture raisonnée de l’ensemble du texte.

Nous appelons l’ensemble des organisations syndicales à ne pas être dupes des manœuvres actuelles du ministère de la santé et à rester unis dans l’intérêt de la population et de la mise sur pied d’une coordination des soins ambulatoires efficiente.

Docteur Eric Perchicot,

Président




Journée santé morte du 31 mars

Chères Consœurs,

Chers Confrères,

Chers amis.

 

Le projet de loi de santé a été adopté en commission à l’Assemblée Nationale.

Le texte qui sera présenté en séance à partir de mardi 31 mars est passé de 92 à 171 pages.

C’est dire si nous ne nous sommes pas encore à une version stabilisée.

Le mouvement de protestation doit continuer. De façon symbolique un mouvement de protestation, le premier jour du débat en séance à l’Assemblée Nationale, a été proposé par la CSMF.

Il faut soutenir cette action de protestation car aujourd’hui rien n’est joué.

Bien sûr, il est plus que difficile pour nous, cardiologues, de modifier nos plannings d’activité en quelques jours. Peu importe, que chacun d’entre nous agisse comme il peut dans sa région.

Le mouvement continue. Ne croyez pas que le Gouvernement en place ait été conforté par la « résistance » affichée au premier tour des élections départementales. C’est à la fin du bal que l’on paye les musiciens, c’est dimanche 28 mars au soir que le pouvoir actuel sera en face des réalités.

À nous tous de rester soudés pour faire reculer un pouvoir fragilisé et de moins en moins légitime, sur un projet de loi qu’il ne suffit pas d’amender, mais qui doit être réécrit dans un esprit d’ouverture qui permette une réorganisation profonde de notre système de santé dans l’intérêt de la population.

À chacun de faire ce qu’il peut mardi prochain.

Ne lâchons rien.

Amicalement.

Docteur Eric Perchicot

Président




Merci

La réussite incontestable de la manifestation des professionnels de santé dimanche 15 mars est un encouragement à poursuivre le bras de fer

Rares seront les personnes surprises de la réaction de la ministre qui, égale à elle-même, reste droite dans ses bottes et ne veut pas admettre qu’une loi de santé écrite sans les principaux acteurs a peu de chances d’atteindre son but.

Merci aux nombreux cardiologues qui ont accepté de consacrer un dimanche à un engagement d’intérêt général. Il a été revigorant et tonifiant de voir cette marée humaine défiler dans une ambiance générale revendicatrice mais toujours bon enfant.

Les chiffres annoncés par la police confirmeront, à ceux qui pouvaient en douter, que notre démocratie est bien malade. Sans être un expert du comptage des foules, le chiffre de 19 000 participants est une insulte au bon sens. Cette information, volontairement fausse, est un symptôme révélateur d’un pouvoir prêt à tout pour tromper l’opinion publique. Raison supplémentaire s’il en fallait une, pour continuer notre combat, dans l’objectif d’obtenir un retrait du texte actuel pour une réécriture dans le sens de l’intérêt général.

Nous le répéterons autant que nécessaire, il faut réorienter la prise en charge médicale de la population vers une organisation et une coordination ambulatoire permettant le maintien au domicile des personnes malades dans de bonnes conditions et limitant les hospitalisations au strict nécessaire. C’est l’intérêt de nos concitoyens, il n’y a pas de lieu plus agréable que son domicile pour vivre même quand on est malade, et l’intérêt général, pour limiter les coûts de la santé et optimiser les budgets importants qui y sont consacrés.

Merci à vous tous de continuer à largement soutenir nos actions.

Je vous rappelle que ce soutien est indispensable à la motivation de vos représentants (dimanche nous avons mis en réserve beaucoup d’énergie) et à la crédibilité de notre syndicat auprès des pouvoirs publics et des centrales polycatégorielles. Dès que vous les recevez de vos syndicats départementaux ou régionaux, grand merci de vous acquitter dans l’instant de votre cotisation 2015 au Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux.

A bientôt, ne lâchons rien.

Amicalement.

Docteur Eric Perchicot,

Président.




Réforme du système de santé : coup d’échec

Au jeu d’échec, il peut arriver que l’on décide de sacrifier une pièce, qui apparaît importante (sinon l’adversaire ne se laisserait pas tenter) pour débloquer la partie et être en position de force pour la gagner.

C’est exactement ce que vient de faire notre ministre jamais à court de manœuvres tactiques.

Ne nous laissons pas leurrer : Madame Touraine vient de dévoiler une partie de son projet : ce n’est pas le tiers-payant généralisé, très médiatisé, qui est la mesure pivot du projet de loi. Les articles sur le service public hospitalier, le service territorial de santé au public et sur les pratiques avancées sont bien plus toxiques pour la médecine libérale.

Nous le répétons : Madame la ministre, sortez d’une posture tactique pour écouter l’ensemble des médecins libéraux.

Nous sommes globalement en phase avec les objectifs de la stratégie nationale de santé. C’est en médecine ambulatoire qu’il faut améliorer la prise en charge des pathologies chroniques et complexes. Cette nouvelle organisation passe par des délégations de tâches, une coordination entre les métiers puis à terme des pratiques avancées quand les professionnels concernés seront formés, ce que nous ne refusons pas.

Nous souhaitons simplement un Grenelle de la santé pour mettre à plat un système né à la fin des années 1960 et qui est devenu obsolète, coûteux et peu efficient pour la population.

Il faut, Madame la ministre, que vous acceptiez le retrait du texte actuel de l’ordre du jour de l’Assemblée nationale pour arriver à une réforme, que nous ferons ensemble de notre système de santé.

Chers confrères,

Pas d’hésitation, le bras de fer continue.

Tous à Paris dimanche 15 mars, place Denfert-Rochereau 

à partir de 12h45 (au 101 bd Arago, devant l’agence MATMUT qui fait l’angle du boulevard Arago et du bd Saint-Jacques 75014 Paris pour le rendez-vous fixé aux cardiologues).

 

A dimanche donc, ne lâchons rien.

Amicalement.

Docteur Eric Perchicot,

Président.




Les absents auront eu tort

Comme toujours me direz-vous.

Le 15 mars au soir la médecine libérale aura abattu son dernier atout.

Ne nous trompons pas : les dernières sorties médiatiques de la Ministre de la santé et ses contorsions sémantiques sur «  le tiers-payant généralisé qui deviendrait un droit inscrit dans la loi mais non sanctionnable pour le médecin qui le refuserait et à horizon après les élections présidentielles… » montrent à quel point sa position est de plus en plus inconfortable.

C’est pour cela qu’il faut que tous les indécis et le plus grand nombre d’entre nous, revenus de tout, réagissent : vous avez encore 48 heures pour changer d’avis et prendre le train en marche.

Aucune bonne mauvaise raison ne doit nous faire renoncer à être présents Place Denfert-Rochereau 75014 Paris pour un départ de la manifestation à 14 heures.

 

Nous proposons à tous les cardiologues de se retrouver, à partir de 12h45, au 101 boulevard Arago devant l’agence MATMUT qui fait l’angle du boulevard Arago et du boulevard Saint-Jacques 75014 Paris.

Une manifestation de cette ampleur repose bien évidemment sur une organisation précise.

Deux possibilités s’offrent à nous :

  • soit défiler tous ensemble sous la bannière du SYNDICAT DES CARDIOLOGUES : 101 bd Arago [flèche rouge sur le plan], nous irons nous placer ensuite avec les autres verticalités par ordre alphabétique entre les régions Auvergne et Champagne-Ardenne.
  • soit se regrouper par région
    • Région Alsace : face au 270 Boulevard Raspail ([2] sur le plan).
    • Région Auvergne : face au 276 Boulevard Raspail ([3] sur le plan).
    • Région Champagne-Ardenne : face au 280 Boulevard Raspail ([4] sur le plan).
    • Régions Corse, Centre, Bretagne : angle Boulevard Raspail et Boulevard Denfert Rochereau ([5] sur le plan).
    • Régions Haute-Normandie, Basse-Normandie, Picardie, Franche-Comté : Place Denfert
      Rochereau, angle Boulevard Arago, Boulevard Saint Jacques ([6] sur le plan).
    • Région Ile-de-France (sauf Val-de-Marne et Essonne) : devant RER B et arrêt de bus Avenue
      René Coty ([7] sur le plan).
    • Régions Poitou-Charentes, Limousin, Lorraine, Languedoc-Roussillon : angle Place Denfert Rochereau Avenue du Général Leclerc (face au café Indiana : [8] sur le plan).
    • Régions Midi-Pyrénées, Nord-Pas-de-Calais : côté sud-ouest devant le bar Baladines 24 place Denfert Rochereau ([9] sur le plan).
    • Régions Pays-de-la-Loire, Val-de-Marne, Essonne, Martinique, Guadeloupe, Réunion : Place Denfert Rochereau angle Rue Froidevaux (devant l’autoécole Denfert Rochereau : [10] sur le plan).
    • Régions Aquitaine, Bourgogne : Place Denfert Rochereau devant station de métro Denfert
      Rochereau également entrée Catacombes de Paris ([11] sur le plan).
    • Région PACA : sur la Place Denfert Rochereau autour du Lion de Belfort (Face Est : [12] sur le plan).
    • Région Rhône-Alpes : sur la Place Denfert Rochereau autour du Lion de Belfort (face
      ouest : [13] sur le plan).

 

Plan SNSMCV-

Plan SNSMCV (format pdf)

Il est probable que les deux possibilités vont se coordonner et que chacun d’entre nous en fonction de ses affinités fera son choix.

Prévoyez une tenue de randonnée et des chaussures de marche. Le Syndicat s’occupe de fournir les banderoles pour que nous soyons identifiables.

 

A dimanche 15 mars, ne lâchons rien.

 

Amicalement.

Docteur Eric Perchicot

Président.




Tous à Paris le 15 mars !

Il est très inhabituel pour un syndicaliste médical libéral d’appeler à une marche de protestation nationale. Pourtant, s’il y a bien une fois dans notre vie professionnelle où cela est déterminant ce sera bien le 15 mars. Ne nous racontons pas d’histoire : seul le succès de ce rassemblement de plusieurs dizaines de milliers de personnes est à même de modifier l’avenir du projet de loi de santé.

Il n’y aura pas de seconde chance : soit dimanche soir l’épreuve de force aboutit à un retrait du projet de loi pour une vraie concertation sur l’avenir de notre système de soins, soit le projet de loi poursuivra son cours et sera discuté à la session de printemps du Parlement. Dans ce cas l’avenir de la médecine libérale risque de s’inscrire en pointillés…

Aucune bonne mauvaise raison ne doit vous faire renoncer à être présents
Place Denfert-Rochereau 75014 Paris pour un départ de la manifestation à 14 heures.

 

Nous proposons à tous les cardiologues de se retrouver, à partir de 12 h 45,
au 101 boulevard Arago devant l’agence MATMUT qui fait l’angle du boulevard Arago et du boulevard Saint-Jacques 75014 Paris.

Une manifestation de cette ampleur repose bien évidemment sur une organisation précise.

Deux possibilités s’offrent à nous :

  • soit défiler tous ensemble sous la bannière du SYNDICAT DES CARDIOLOGUES
  • soit se regrouper par région.

Il est probable que les deux possibilités vont se coordonner et que chacun d’entre nous en fonction de ses affinités fera son choix.

Prévoyez une tenue de randonnée et des chaussures de marche. Le Syndicat s’occupe de fournir les banderoles pour que nous soyons identifiables.

 

A dimanche 15 mars, ne lâchons rien.

 

Amicalement

 

Docteur Eric PERCHICOT,

Président.

Paris, le 6 mars 2015.




Tout va très bien Madame La Marquise

Paris, le 20 janvier 2015.

Chère consœur,

Cher confrère,

Chers amis.

Vous avez été nombreux, au cours des journées européennes de la SFC, à m’interroger sur la poursuite du mouvement contre le projet de loi de santé. Il apparaît donc que la stratégie d’occupation du terrain médiatique et de désinformation du ministère soit efficace puisque les cardiologues de terrain ont du mal à savoir où nous en sommes. C’est compréhensible et prouve que l’accès aux médias n’est pas équitable pour toutes les parties.

Aujourd’hui, mardi 20 janvier, aucun progrès n’a été enregistré sur les points de blocage du projet de loi de santé. Madame la ministre donne à espérer, à chacun de ses interlocuteurs, une avancée sur les articles de loi qui l’intéresse directement. Ce ne sont que des mots, qui, quand on les rapproche, se contredisent souvent. Rien n’est acquis, l’action doit continuer. Ne tenez pas compte du : «tout va très bien Madame la marquise » sur l’impact de l’utilisation des feuilles de soins papier. Au contraire, si, comme le dit l’Assurance Maladie cela n’a pas d’impact, nous pouvons amplifier le mouvement puisque « apparemment » les caisses locales traitent au fil de l’eau les dossiers de nos patients. Il faut bien sûr continuer à leur expliquer que nous nous battons contre un projet de modification profonde de l’exercice médical en ville qui les touchera directement.

Le mot d’ordre est simple : continuons à utiliser autant que possible les feuilles de soins papier.

En parallèle, l’ensemble des syndicats médicaux réfléchit à la possibilité d’une grande manifestation un week-end à Paris au mois de mars. Malheureusement, la situation sécuritaire actuelle complique bien sûr la mise en place de ce projet.

Le combat continue, il faut accepter de l’inscrire dans la durée.

Ne lâchons rien, bien amicalement.

Docteur Eric PERCHICOT,

Président.