
Avec un effectif de 6 210 cardiologues sur un peu plus de 290 000 médecins, les cardiologues représentaient, en 2017, 2,1 % des médecins français. Parmi eux, plus de 41 % exercent en libéral et 25 % en exercice mixte. La cardiologie est donc une spécialité pratiquée en libéral à plus de 66 %.
La pyramide des âges indique par ailleurs que 26 % des cardiologues ont plus de 60 ans. Les prévisions font état de 220 départs à la retraite chaque année jusqu’en 2027. Dans le même temps, seuls 180 internes en cardiologie sont formés (38 en cardiologie générale, 43 en cardiologie interventionnelle, 34 en rythmologie, 37 en cardiopathie congénitale et 50 en imagerie).
En parallèle, les maladies cardiovasculaires augmentent de 3,5 % par an. L’inadéquation entre l’offre et la demande est donc réelle. Dans ce contexte, même si 48 % des jeunes cardiologues disent aujourd’hui être attirés en priorité par le salariat dans le secteur public, l’exercice libéral demeure un choix très attractif pour les cardiologues épris de liberté.
Coordination : Nathalie Zenou
– exigeante et variée, ouverte à l’innovation ;
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Le Cardiologue n° 440 – mai-juin 2021
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