Les enfants exposés à l’hydroxychloroquine in utero courent un risque plus élevé de malformation grave à la naissance

(Medscape – Fanny Le Brun) L’hydroxychloroquine (Plaquenil®) est indiquée chez l’adulte dans la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux subaigu ou discoïde, les lupus systémiques et les lucites… [Lire la suite]




Difficile d’exercer pour les médecins étrangers en France : témoignage d’une Padhue

(Medscape – Jacques Cofard)Arrivée en France en 2012, Safia*, médecin généraliste diplômée en Algérie, a présenté un dossier pour une autorisation d’exercice en… 2022. Entretemps, elle aura connu un véritable parcours du combattant, en devenant infirmière avant de connaitre les méandres que l’administration inflige aux praticiens étrangers diplômés Hors Union européenne (padhue) qui souhaitent exercer en tant que médecin en France – instabilité salariale incluse. Son témoignage… [Lire la suite]




Une commission mixte paritaire modifie la loi Rist



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Adoptée par l’Assemblée nationale, amendée par le Sénat, la loi Rist a fait l’objet d’une ultime révision par une commission mixte paritaire (CMP) rassemblant députés et sénateurs.

La Loi Rist entend améliorer l’accès aux soins par la confiance aux professionnels de santé. Sa version initiale avait déclenché la colère des médecins et avait contribué à la rupture des négociations conventionnelles. Les parlementaires sont parvenus à un consensus qui sera examiné par les deux assemblées.

Des mesures supprimées …

Le principe « d’engagement territorial des médecins » a été supprimé, le législateur considérant que cette disposition relève finalement davantage des négociations conventionnelles.

La CMP a également choisi de ne pas retenir la proposition de la députée de créer 2 types d’IPA, spécialisés et « praticiens ». Cette distinction pourrait toutefois être mise en œuvre par voie règlementaire.

L’indemnisation des rendez-vous médicaux non honorés n’a pas été retenue par la CMP.

… et d’autres maintenues avec ou sans modification

Si le principe d’engagement territorial a été supprimé, celui « d’une responsabilité collective de participation à la permanence des soins, tant en établissement de santé qu’en ville » a été maintenu.

L’accès direct aux orthophonistes a été maintenu dans l’ensemble des structures d’exercice coordonné y compris les CPTS.

L’accès direct pour les IPA et les masseurs-kinésithérapeutes a été maintenu en ville (équipe de soins primaires ou spécialisées, centre ou maison de santé) et en établissements mais pas au sein des communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS), jugées trop hétérogènes.  Dans ces dernières, une expérimentation sera donc menée dans six départements et pour cinq ans, comme prévu par la LFSS pour 2022.

Enfin les parlementaires ont conservé la généralisation du dépistage du cancer du col de l’utérus par les pharmaciens biologistes médicaux et l’élargissement de la liste des professionnels et personnes habilitées pouvant réaliser des tests rapides d’orientation diagnostique.

Une nouvelle proposition de loi pour évaluer l’offre de soins

Toujours pour lutter contre les déserts médicaux, une proposition de loi transpartisane a été déposée fin mars par le député Jérôme Nury (LR, Orne).

Au menu : régulation de l’installation des médecins et des chirurgiens-dentistes, préavis de 6 mois préalablement à un départ, mesures incitatives, création d’écoles normales de la santé sous forme expérimentale et surtout, création d’un indicateur territorial de l’offre de soins.

Plus d’informations dans une édition à venir !


Consulter le texte de la proposition de loi Nury

Nathalie Zenou

© EmiliaU




Changer de spécialité en cours de carrière : la procédure à suivre

Initialement prévue pour début 2021, la possibilité de changer de spécialité est entrée en vigueur le 1er janvier 2023. Les conditions à remplir et la procédure avaient été précisées dans un arrêté publié en avril 2022.


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Les candidats à la reconversion doivent avoir exercé pendant au moins 3 ans à temps plein pour pouvoir candidater dans un autre DES, ou 1 an à temps plein pour pouvoir candidater à une option au sein de leur DES d’origine (ou à une formation transversale).

Le candidat choisira une seule université et une spécialité et enverra son dossier au plus tard le 30 avril. Celui-ci devra comprendre différentes pièces « permettant d’évaluer les connaissances et les compétences du candidat ainsi que son projet professionnel » (CV, lettre de motivation, justificatifs de formations complémentaires, DU ou DIU).

Les commissions régionales de coordination des 44 spécialités examineront les dossiers avant de rendre un avis écrit. Composées d’universitaires et de médecins hospitaliers, ces commissions tiendront compte du projet professionnel du candidat ainsi que de ses aptitudes et compétences acquises.  

Un quota sera fixé chaque année précisant le nombre de postes réservés aux médecins en reconversion, par discipline et par CHU. Une liste complémentaire sera établie, classée par ordre de mérite.

Une fois admis, les candidats suivront un parcours similaire à celui d’un interne : conventionnement avec un CHU de rattachement, contrat de formation… leur formation pourra néanmoins être aménagée pour tenir compte de leurs expériences antérieures.

Chaque année, 600 à 800 médecins demandent à changer de spécialité. En 2016, l’Ordre avait donné un avis favorable pour 68 % des dossiers. Les généralistes sont les principaux demandeurs, qui souhaitent se consacrer exclusivement à une spécialité qui constitue déjà une grande partie de leur exercice, par exemple la gynécologie, la pédiatrie ou la psychiatrie.

Nathalie Zenou

Modalités d’accès des médecins en exercice au troisième cycle des études de médecine :


Consulter l’arrêté du 25 avril 2022

© Depositedhar




Etats-Unis : cette start-up se dit capable de déterminer « l’âge réel » de votre corps et d’en ralentir le vieillissement

(franceinfo:) C’est l’un des rêves du secteur de la « biotech », trouver l’innovation qui servira de fontaine de jouvence à l’espèce humaine. Un biologiste de Harvard a fondé une entreprise qui propose de « prendre le contrôle de son vieillissement »… [Lire la suite]




Le budget annuel des frais de santé des Français en hausse de 75% depuis cinq ans, selon une étude de Cofidis

(franceinfo:) Un quart des Français disent devoir se « serrer la ceinture », selon une étude Cofidis, révélée mercredi en exclusivité sur franceinfo. Les soins dentaires et optiques sont les plus coûteux… [Lire la suite]




Dengue, zika, chikungunya : il faut s’y préparer en métropole

(Medscape – Marine Cygler) Les moustiques Aedes albopictus (moustique tigre) et Aedes aegypti qui transmettent les virus de la dengue, Zika et chikungunya sont désormais largement implantés sur le territoire national. Avec une augmentation des cas autochtones de dengue en métropole, on peut s’inquiéter du risque de multiplication, inéluctable, de foyers hexagonaux… [Lire la suite]




Pollen : la moitié de la France en alerte rouge avec le retour des beaux jours

(franceinfo:) Le retour des beaux jours marque aussi celui du pollen, qui provoque des allergies chez un Français sur trois. Depuis la semaine dernière, la moitié de la France est en alerte rouge… [Lire la suite]




Var : quand le parapente donne des ailes aux enfants malades

(franceinfo:) Le 12/13 revient, lundi 10 avril, sur la belle aventure de Mathis. Ce jeune garçon handicapé a pu, le temps d’un vol en parapente biplace, oublier son quotidien. Reportage à Signes, dans le Var… [Lire la suite]




Santé : face à la désertification médicale, une commune des Côtes-d’Armor finance un étudiant en médecine

(franceinfo:) Certaines communes, implantées dans des déserts médicaux, financent partiellement les études de leur futur praticien. Léonard, étudiant en médecine, a recouru au dispositif et s’est officiellement engagé à s’installer à Plévenon une fois son diplôme en poche… [Lire la suite]




Régime méditerranéen et baisse du risque cardiovasculaire : une analyse portant exclusivement sur les femmes

(Medscape – Carolyn Crist) De nouvelles données d’observation, parues en ligne le 14 mars dans la revue Heart, semblent indiquer que le régime méditerranéen est associé à une incidence plus faible de maladies cardiovasculaires (MCV) et de mortalité chez les femmes… [Lire la suite]




Un taux élevé d’acide urique associé à un risque accru de fibrillation atriale

(Medscape – Vincent Richeux) Un taux élevé en acide urique est associé à un risque accru de développer une fibrillation atriale, même chez les personnes qui ne présentent pas les facteurs de risque cardiovasculaire habituels, révèle une large étude suédoise. Ces travaux viennent confirmer un peu plus le rôle de l’acide urique dans l’apparition de maladies cardiovasculaires et son potentiel intérêt dans une approche préventive… [Lire la suite]




Enfants hyperactifs: un médicament qui fait débat

(franceinfo:) Être agité, inattentif, impulsif…des traits de caractère que de nombreux parents retrouvent chez leurs enfants. Un comportement qui parfois peut s’avérer difficile à gérer. Pour certains médecins cela devient alors un trouble: le TDAH. Il toucherait 500 000 enfants en France… certains sont traités avec un médicament psychotrope dont la prescription, en plein essor, fait débat… [Lire la suite]




Les multiples bénéfices du sevrage tabagique chez les patients diabétiques

(Medscape – Nathalie Raffier) Le premier consensus d’experts sur Tabagisme et diabète, écrit conjointement par la Société francophone du diabète (SFD) et la Société française de tabacologie (SFT), a été présenté au congrès annuel de la Société francophone du diabète (SFD, 21-24 mars 2023, Montpellier)… [Lire la suite]




Faut-il continuer à exclure les jeunes diabétiques de type 1 de la boucle fermée ?

(Medscape – Aude Lecrubier) Actuellement, les recommandations internationales et francophones sur la boucle fermée préconisent plutôt d’envisager le « pancréas artificiel » pour les adultes bien impliqués dans leur prise en charge, ce qui exclut souvent les jeunes patients, notamment les adolescents, à risque élevé de faible observance du traitement et de contrôle glycémique suboptimal… [Lire la suite]




Télésurveillance : encore quelques zones d’ombre



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Un protocole d’accord a été signé par le ministre de la santé, le syndicat national de l’industrie des technologies médicales, France Biotech et France Digitale.

La fin du programme ETAPES prévoit le passage dans le droit commun de la télésurveillance pour cinq pathologies, dont la cardiologie (télésurveillance de l’insuffisance cardiaque et des prothèses implantables – voir CardioHebdo du 14 février 2022 et du 9 mars 2023).

Les grandes lignes du protocole

Le protocole signé fin mars installe un comité de suivi réunissant des acteurs industriels et publics. Il détaille également les tarifs qui seront pratiqués. Les grilles tarifaires devraient rester en vigueur pendant 3 ans. Le taux de TVA proposé (5,5 %) doit encore être validé par Bercy.

En parallèle de la signature de cet accord, l’Assurance-maladie a défini un taux de participation unique pour les assurés : il sera de 40 % (participation aux frais de télésurveillance médicale).

Une grille tarifaire à double entrée

La grille tarifaire prévoit une rémunération fondée sur le nombre de patients inclus dans la file active d’une part (12 tranches de moins de 4 999 patients à plus de 100 000 patients) et le type de bénéfice apporté d’autre part (rémunération par patient croissante selon le bénéficie : bénéfice organisationnel, amélioration de la qualité de vie, réduction de la morbidité et réduction de la mortalité).

Une grille spécifique pour les prothèses cardiaques

A noter que la télésurveillance des prothèses cardiaques fera l’objet d’une grille tarifaire spécifique. En effet, cette activité existe depuis plus de 10 ans. Elle bénéficie d’un recul plus important des acteurs et de tarifs fixés avant l’expérimentation ETAPES. Des discussions sont en cours pour définir des tarifs spécifiques une fois la télésurveillance passée dans le droit commun.

Des trous dans la raquette

On peut noter que le protocole a été signé sans les représentants des professionnels de santé ni des patients. Des associations de professionnels de santé, dont les cardiologues, ont d’ores et déjà critiqué les tarifs fixés pour leur spécialité, les jugeant trop faibles. Par ailleurs, le groupe Air Liquide, principal acteur industriel de la télésurveillance du programme ETAPES, a indiqué qu’il se retirait du marché français.

Enfin, de nombreuses entreprises doivent encore obtenir une certification de conformité au référentiel d’interopérabilité et de sécurité des dispositifs médicaux numériques. Celle-ci est indispensable pour bénéficier d’une prise en charge de l’Assurance-maladie.

Nathalie Zenou

© Everything Possible – Depositphotos




Les nouveaux visages de votre syndicat : François Diévart

Le conseil d’administration du syndicat national des cardiologues a accueilli 13 nouveaux membres à l’occasion de son renouvellement en janvier dernier. Nous publierons les portraits de chacun d’entre eux au fil de l’eau : qui sont-ils ? Comment et pourquoi se sont-ils engagés dans l’action syndicale ? Comment voient-ils la cardiologie de demain ?… Faites leur connaissance !


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Pouvez-vous vous présenter ?

Je m’appelle François Diévart. Après un internat à Lille, un clinicat à Paris, je me suis installé en pratique libérale exclusive à Dunkerque en 1990 au sein d’un groupe de 6 cardiologues qui s’est dissout en 2004 pour mésentente de certains de ses membres (c’est aussi cela la pratique libérale…).

J’exerce depuis en collaboration avec un de mes ex-associés, sans contrat spécifique, mais avec une excellente entente, notamment d’alternance des secrétariats et des vacances et en excellente entente avec plusieurs cardiologues de ville, notamment dans la gestion des examens complémentaires.

J’exerce la cardiologie générale et interventionnelle coronaire, cette dernière comme praticien libéral au centre hospitalier de Dunkerque. J’ai trois domaines de prédilection, la prévention cardiovasculaire, la maladie coronaire et l’insuffisance cardiaque.

Quel est votre mission au sein du SNC ?

Si je n’ai intégré le conseil d’administration du SNC que depuis cette année, je collabore étroitement avec le syndicat depuis au moins deux ans, notamment dans des cellules de réflexion et surtout de communication autour de la revue Le Cardiologue et de la lettre numérique hebdomadaire CardioHebdo. Pour cette dernière, tous les mardis matins à 8h00 nous avons une réunion des divers membres impliqués dans l’élaboration de ces deux revues, permettant de décrypter et analyser l’actualité syndicale de notre spécialité.

En tant que président du comité scientifique du CNCF, je fais aussi le lien entre ces deux instances majeures de la cardiologie libérale, actuellement en coordonnant la rubrique CNCF dans la revue Le Cardiologue, mais en réfléchissant aux actions communes futures.

Pourquoi un engagement syndical ? et pourquoi un engagement syndical au sein du SNC ?

Comme membre des conseils d’administration de la Société française de cardiologie, du CNCF et du SNC, j’ai pu amplement constater que les réflexions y sont différentes et que ces trois branches de la cardiologie sont nécessaires et complémentaires pour la qualité et à la valorisation de notre exercice. De toute évidence, les intérêts spécifiques de la cardiologie libérale ne sont pleinement défendus que par le SNC, ce qui justifie mon engagement en son sein. Je pense que la cardiologie libérale, par la liberté d’action qu’elle donne encore aux praticiens reste un socle de la pratique médicale en France.

Comment voyez-vous votre action à venir ? Quels sont vos projets ?

La cardiologie, comme la médecine en général, est confrontée à de nombreux défis qui justifient une réflexion spécifique du SNC, mais aussi au sein du CNCF et de la SFC :

  • un défi organisationnel avec la nécessité d’agir en équipe. Si l’objectif final est simple, offrir la prise en charge la mieux adaptée à un patient donné, les défis sont complexes : Comment construire une équipe ? Par la bonne entente ? Par des liens contractuels ? Par l’exercice dans une structure commune ? Et alors salarié du privé ou libéral exclusif ? Quel service offrir dans un périmètre territorial donné ?
  • un défi lié à l’arrivée massive du numérique, comme les objets connectés et l’intelligence artificielle par exemple, en phase avancée d’évaluation. Elle va probablement profondément modifier nos pratiques. Comment utiliser ces outils tout en gardant l’esprit libéral et sans dépendre des sociétés commerciales gérant ces outils ? Comment concevoir la pratique quotidienne face au patient singulier devenu un « objet connecté entrant dans des algorithmes » ?
  • un défi démographique avec un grand nombre de cardiologues de plus de 60 ans et en parallèle l’arrivée de nombreux jeunes qui n’ont potentiellement pas la même façon de concevoir leur exercice que les plus anciens. Je pense que c’est à ces derniers d’offrir les moyens et outils permettant aux plus jeunes de maintenir une cardiologie libérale de qualité.
  • un défi informationnel et de formation, car la quantité ne remplace pas la qualité : le haut débit d’information parait inversement proportionnel à la qualité. Comment accéder à l’information réellement pertinente et donc comment trier cette information ? C’est probablement par le développement d’outils de formation qu’il faudra agir et toutes les composantes de la cardiologie doivent marcher de façon unie et complémentaire sur ce point. On pourrait ajouter à ce défi le suivant : le désengagement progressif des laboratoires pharmaceutiques du financement de la formation. Cela laisse entendre que la formation pourrait être moins orientée vers les intérêts plus spécifiques de l’industrie, mais aussi qu’elle se raréfiera sauf si les médecins envisagent qu’il est absolument nécessaire de prendre en main eux-mêmes leur formation.

Mon engagement dans les diverses structures de la cardiologie a pour objectif de réfléchir aux façons de répondre à ces défis et à agir.

Quel serait l’avenir idéal de la cardiologie selon vous ? Je vous donne une baguette magique, que faites-vous ?

Avoir le temps, avoir la formation, notamment communicationnelle, avoir l’équipe et le plateau technique, avoir la convivialité avec les divers correspondants afin que le cardiologue puisse être une sorte de chef d’orchestre dont le patient serait l’auditeur d’une sonate qui serait celle de sa prise en charge la mieux adaptée.

© DR




Santé : une inquiétante hausse de l’infertilité dans le monde

(franceinfo:) Alors que la plupart des pays développés sont confrontés à un effondrement de leur natalité, qu’en est-il des adultes qui ne parviennent pas à avoir d’enfant ? Le point sur le plateau du 20 Heures avec le journaliste et médecin Damien Mascret… [Lire la suite]




comment expliquer les inégalités face à la maladie d’Alzheimer ?

(franceinfo:) Les femmes sont moins touchées par la maladie d’Alzheimer. Une étude de l’université de Harvard évoque les possibles effets des traitements hormonaux de la ménopause. Décryptage avec le médecin et journaliste Damien Mascret sur le plateau du 12/13, mardi 4 avril… [Lire la suite]




La disparition progressive des femmes médecins du Moyen Âge, une histoire oubliée

(The Conversation – Isabelle Gagliardi) La plupart des « sorcières » persécutées en Europe à partir du XVe siècle étaient en réalité des sages-femmes et des guérisseuses, héritières d’une longue tradition d’exercice laïc de la médecine, plus pragmatique que théorique. Mais pour raconter l’histoire de ces expertes (avant qu’elles soient totalement évincées), les chercheurs se heurtent à plusieurs obstacles… [Lire la suite]




Les tarifs de la télésurveillance à nouveau revus à la hausse (projet d’arrêté)

(TICpharma – Léo Caravagna) – Les tarifs de droit commun de la télésurveillance rémunérant l’exploitant ou le distributeur du dispositif médical (DM) numérique utilisé ont été à nouveau revus à la hausse, selon un projet d’arrêté daté de fin mars et obtenu par TICpharma… [Lire la suite]




Ozempic et perte de poids : les risques derrière le mauvais usage de cet antidiabétique

(The Conversation – Jean-Daniel Lalau) Début mars, L’Agence nationale de la sécurité du médicament (ANSM) et l’Assurance-maladie annonçaient une « surveillance renforcée » sur un antidiabétique : l’Ozempic. Or, ce médicament est plébiscité sur le réseau social TikTok, mais pour un autre usage… maigrir. Y a-t-il un usage détourné ? Et quels en sont les risques réels ?… [Lire la suite]




Affaire des respirateurs Philips : l’agence du médicament saisit la justice

(franceinfo:) En février 2022, l’ANSM avait pris une décision de police sanitaire pour contraindre  Philips à remplacer tous ses appareils potentiellement cancérigènes… [Lire la suite]




Marathon de Paris : Charly Bancarel, 93 ans, a terminé la course en héros

(franceinfo:) Charly Bancarel, 93 ans, doyen du Marathon de Paris, l’a bouclé dimanche 2 avril, en 7 heures et 22 minutes. Un exploit qui l’a ému aux larmes… [Lire la suite]




Fin de vie : les médecins encore divisés sur la question de l’euthanasie

(franceinfo:) Dans leur rapport, les 184 membres de la convention citoyenne sur la fin de vie militent pour une « aide active à mourir », à certaines conditions. Ces conclusions divisent le corps médical… [Lire la suite]




Le tabac, un diabétogène à prendre très au sérieux

(Medscape – Nathalie Raffier)

Chez la personne diabétique de type 2, comme de type 1, le tabagisme actif constitue le principal facteur de risque de mortalité toutes causes avant même l’équilibre glycémique, lipidique et tensionnel. Majoration des complications micro et macroangiopathiques, du risque cardiovasculaire et rénal, détérioration de l’équilibre glycémique… [Lire la suite]




Surpoids des enfants de 3 à 12 ans : une prise en charge remboursée à 100 % par l’Assurance Maladie

(Medscape – Stéphanie Lavaud) L’Assurance Maladie met en place le programme « Mission : retrouve ton cap » qui permet aux enfants de 3 à 12 ans en surpoids ou à risque de le devenir, de bénéficier d’une prise en charge précoce et multidimensionnelle (diététique, psychologique, activité physique) remboursée à 100 %, sans avance de frais par la famille, ni de dépassement d’honoraire… [Lire la suite]




Erythrétol : un substitut au sucre associé à une augmentation importante du risque d’événements cardiovasculaires majeurs

(Medscape – Rédaction Univadis) Les chercheurs ont dans un premier temps mis en évidence une association positive entre les taux de plusieurs polyols (et en particulier de l’érythritol (ou E968), utilisé comme substitut au sucre) et le risque accru d’accidents cardiovasculaires majeurs dans le temps… [Lire la suite]




L’intérim médical à l’hôpital plafonné à 1 390 euros brut pour vingt-quatre heures à partir de lundi

(Le Monde – AFP) Le Syndicat national des médecins remplaçants hospitaliers, qui milite contre ce plafond, estime que 167 services sont « menacés de fermeture imminente » dans une centaine d’hôpitaux, pour la plupart situés dans des villes petites ou moyennes… [Lire la suite]




L’association de consommateurs Que Choisir réclame une « thérapie de choc » pour améliorer l’accès aux soins

(franceinfo:) L’association de consommateurs Que Choisir réclame aux pouvoirs publics une « thérapie de choc » pour améliorer l’accès aux soins des Français… [Lire la suite]




Fin de vie : la Convention citoyenne prône l’aide active à mourir, Macron annonce un projet de loi d’ici la fin de l’été

(Medscape – Christophe Gattuso)  Au terme de quatre mois de réflexion, la Convention citoyenne sur la fin de vie s’est déclarée favorable à une large majorité à l’accès, sous conditions, à l’aide active à mourir sous la forme du suicide assisté et de l’euthanasie. Emmanuel Macron a annoncé qu’un projet de loi serait proposé d’ici à la fin de l’été mais il ne s’est pas engagé à reprendre « l’une ou l’autre » des conclusions… [Lire la suite]




Covid-19 et DTP : fin de l’obligation vaccinale pour les professionnels de santé ?

(Medscape – Fanny Le Brun) La Haute Autorité de santé (HAS) vient de publier de nouvelles recommandations[1] sur les obligations et recommandations vaccinales des professionnels des secteurs sanitaire et médico-social. Elles concernent pour le moment uniquement les vaccins pour lesquels une obligation est actuellement en vigueur : Covid-19, diphtérie, tétanos, poliomyélite et hépatite B… [Lire la suite]




Sportsanteclic.com : un outil d’aide à la prescription de sport santé en soins primaires

(Medscape – Stéphanie Lavaud) Manque de temps, de formation…il est plus difficile pour un médecin généraliste de prescrire de l’activité physique que des médicaments. Conscient du problème, un jeune généraliste a conçu une aide à la prescription de l’activité physique en format web, totalement gratuit, et qui prend en compte actuellement une dizaine de pathologies fréquemment vues en soins primaires… [Lire la suite]




9% des patients seraient intolérants aux statines, selon une vaste méta-analyse

(Medscape – Pablo Hernández Mares) La Food and Drug Administration (FDA) américaine définit l’intolérance aux statines comme « l’incapacité à tolérer au moins deux statines aux doses les plus faibles approuvées en raison de symptômes musculosquelettiques », a rappelé le Dr Francisco López-Jiménez, cardiologue au département de cardiologie de la Mayo Clinic (Rochester, Minnesota, États-Unis) lors de sa présentation au Congrès annuel de cardiologie internationale (CADECI) 2023… [Lire la suite]