Avec des millions d’individus éligibles, le sémaglutide en passe de détrôner les statines

(Medscape – Alicia Ault) Environ 40 % des adultes américains, soit environ 137 millions, sont éligibles au sémaglutide, ont déclaré les auteurs d’une lettre de recherche publiée en ligne dans le JAMA Cardiology . L’agoniste des récepteurs du glucagon-like peptide 1 (GLP-1) devrait donc rapidement prendre la place des statines sur le podium des médicaments les plus prescrits… [Lire la suite]




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Ma consultation

Je vais voir un cardiologue pour plusieurs raisons

En cas de symptômes pouvant évoquer un problème cardiaque, d’anomalies constatées par mon médecin traitant lors d’une consultation, de facteurs de risques de maladies cardiaques, de reprise d’activité sportive ou de maladies cardiaques ou de mort brutale inexpliquée dans ma famille


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Ma santé

Comprendre les réflexions de mon cardiologue

Pourquoi mon cardiologue s’intéresse-t’il à mon sommeil, ou veut-il me faire faire une épreuve de force ou que j’achète un appareil pour mesurer ma tensionI?

 


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Mes droits

En tant qu’usager du système de santé vous bénéficiez de nombreux droits.

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Je vais voir un cardiologue pour plusieurs raisons

En cas de symptômes pouvant évoquer un problème cardiaque :

– ressentir des battements de cœur anormaux, ce que l’on appelle des palpitations,

– manquer de souffle quand je fais une activité physique, ce que l’on appelle une dyspnée,

– avoir des douleurs dans la poitrine, des œdèmes des jambes ou faire des malaises.

 

Je dois d’abord en parler à mon médecin traitant qui m’orientera vers un cardiologue. Mais attention, si les symptômes sont vraiment intenses ou invalidants (s’ils m’empêchent de faire ce que j’ai prévu) c’est une urgence je dois faire le 15.

 

En cas d’anomalies constatées par mon médecin traitant lors d’une consultation :

– un souffle cardiaque,

– une anomalie du rythme cardiaque,

– des œdèmes des jambes.

 

En cas de facteurs de risques de maladies cardiaques :

– une hypertension artérielle,

– un diabète,

– des anomalies du cholestérol,

– un tabagisme.

 

En cas de reprise d’activité sportive :

– après un long arrêt,

– de manière soutenue (après 40 ans pour les hommes, 50 ans pour les femmes).

 

En cas de maladies cardiaques ou de mort brutale inexpliquée dans ma famille :

– il me sera conseillé de faire un dépistage même si je n’ai pas de symptôme.

Dans tous ces cas, votre médecin traitant peut vous orienter vers un cardiologue.

N’hésitez pas à en parler avec lui.

Comprendre les réflexions du cardiologue

Pourquoi mon cardiologue s’intéresse-t’il à mon sommeil ?

Mon cardiologue cherche à savoir si je fais des apnées du sommeil, c’est à dire des pauses respiratoires la nuit, si elles sont fréquentes et intenses elles vont pouvoir favoriser certaines maladies cardiaques comme les troubles du rythme ou l’hypertension.

Si je ronfle, si je me lève souvent la nuit, si je suis fatigué(e) ou si j’ai des maux de têtes au réveil, ce sont des éléments qui vont être évocateurs.

Je peux tester mon sommeil ici

 

Pourquoi veut-il me faire faire une épreuve de force ?

C’est son banc d’essai pour mettre en évidence des anomalies cardiaques non présentes au repos. Dans un environnement sécurisé avec tout ce qui est nécessaire pour traiter rapidement une anomalie qui se déclencherait, il va étudier mes capacités d’effort, le comportement de mon rythme cardiaque à l’effort et en récupération, le comportement de ma pression artérielle, les variations de mon électrocardiogramme, le plus souvent pour rechercher un défaut d’irrigation du cœur à l’effort, ce qui arrive quand les artères coronaires sont rétrécies.

 

Pourquoi veut-il que j’achète un appareil pour mesurer ma tension ?

La « tension », qu’il est préférable d’appeler pression artérielle, ne donne pas un chiffre fixe comme la température du corps qui, hors pathologie, est toujours proche de 36,6°. Si elle est au-delà de certaines valeurs, elle va contribuer à altérer le cœur et les vaisseaux ce qui peut entraîner à la longue un risque d’insuffisance cardiaque, d’accident vasculaire cérébral ou d’infarctus.

La mesure faite par le cardiologue au cabinet donne une idée du niveau de la pression mais cette mesure peut être surestimée (c’est l’effet blouse blanche) ou sous-estimée (c’est l’hypertension masquée) ; multiplier les mesures en les faisant selon un protocole précis permet d’avoir une idée plus juste.

Comment choisir un appareil. En savoir plus

Comment faire le protocole de mesure. En savoir plus

Votre cardiologue est un médecin spécialiste à votre écoute.

N’hésitez pas à lui poser vos questions.

En tant qu’usager du système de santé vous bénéficiez de nombreux droits

Vous pouvez obtenir la communication de votre dossier médical, désigner une personne de confiance pour vous accompagner dans votre parcours de soins, être informé et donner votre avis quoi qu’étant mineur, rédiger vos directives anticipées pour votre fin de vie, exprimer votre volonté sur les soins qui vous sont proposés et les refuser si tel est votre décision, obtenir réparation en cas de dommage injustifié…

Dans tous ces domaines, touchant au respect de la personne, au droit à l’information, à la liberté de choix ou à la qualité des soins, nous souhaitons faciliter votre information !

C’est dans cet état d’esprit que nous avons conçu l’espace web « Parcours de soins, vos droits ».


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Droit à l’information et consentement

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Respect de la personne et vie privée

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Recours des usagers

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Quand les médecins dirigent le monde

(What’s up Doc?) Des médecins ont été jusqu’à briguer les plus hautes sphères du pouvoir. Un passé parfois oublié ! Parmi ces médecins chefs d’État figurent beaucoup de généralistes : faut-il en déduire une quelconque supériorité des omnipraticiens ? Petit florilège des médecins qui ont marqué l’histoire politique de leur pays… Pour le meilleur ou pour le pire. (Issu du magazine What’s up Doc N°29, paru en décembre 2016)… [Lire la suite]




L’annonce d’une nouvelle fonctionnalité « santé » sur Doctolib crée des remous dans l’écosystème santé

(TICsanté) – L’annonce par Doctolib fin novembre de la création d’une fonctionnalité permettant de regrouper l’ensemble de ses données de santé en un seul espace a provoqué des remous dans l’écosystème, la délégation au numérique en santé (DNS), France Assos santé et l’assurance maladie y voyant un possible concurrent de « Mon espace santé »… [Lire la suite]




Nouvelles données : les traitements les plus prometteurs dans le COVID long

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PRADO-IC : à un an, quels avantages pour les patients insuffisants cardiaques ?

(Medscape – Caroline Guignot) Le service de retour à domicile PRADO a été créé par l’Assurance maladie en 2010 afin de mieux accompagner les patients atteints de différentes pathologies (insuffisance cardiaque, BPCO, chirurgie, maternité…) lors de leur sortie d’hospitalisation. En pratique, les bénéfices recherchés à travers ce programme sont-ils observés en vie réelle ?… [Lire la suite]




L’AP-HP se retire du réseau social X : vers une vague de désertion ?

(Medscape – Jean-Bernard Gervais) Dans la foulée de médias, d’universités et autres personnalités publiques, l’Assistance publique des hôpitaux de Paris (AP-HP) annonce qu’elle quitte le réseau social X pour protester contre les dérives éthiques depuis son rachat par le magnat Elon Musk… [Lire la suite]




Médecin et influenceuse : qui est Elodie Adler ou @doctochou ?

(What’s up Doc?) Qui est @doctochou ? Pédiatre spécialisée en endocrinologie et diabétologie, la Dr Elodie Adler a créé son compte @doctochou avec une mission : donner des conseils de pédiatrie aux jeunes parents… [Lire la suite]




Chute du gouvernement Barnier : quelles conséquences sur le plan santé ?

(franceinfo:) Avec la censure du gouvernement Barnier c’est tout le budget de la Sécurité sociale qui est retoqué, entraînant des conséquences très concrètes pour les assurés sociaux. Fonctionnement de la carte vitale, tarifs des consultations, baisse des remboursements… [Lire la suite]




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(franceinfo:) Plus de la moitié des Franciliens peine également à accéder à un médecin généraliste, révèle le baromètre de l’Agence régionale de santé, consulté en exclusivité par France Bleu Paris… [Lire la suite]




L’écosystème « techbio » veut se structurer

(TICpharma – Léo Caravagna) L’écosystème de sociétés utilisant des technologies innovantes comme l’intelligence artificielle (IA) au service de la recherche biologique, médicale et pharmaceutique cherche à se structurer malgré le flou entourant la définition d’une « techbio », est-il ressorti d’échanges lors d’une matinée organisée par Whitelab Genomics, AI for Health, France Biotech, France Deeptech et Future4care fin novembre à Paris… [Lire la suite]




Motion de censure votée : quelles conséquences pour la santé ?

(Medscape – Jean-Bernard Gervais) La censure du gouvernement a conduit le Premier ministre, Michel Barnier, à remettre sa démission ce jour au président de la République. Autre conséquence de ce vote : le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025 (PLFSS 2025) est rejeté, augurant d’une période de relative instabilité pour les professionnels de santé… [Lire la suite]




Attention aux arrêts de travail prescrits en téléconsultation !

(Medscape – Jean-Bernard Gervais) Aussi bien la Fédération des médecins de France (FMF) que la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF) tirent la sonnette d’alarme quant aux arrêts de travail prescrits en téléconsultation, car les règles ont changé, comme le stipule l’article 65 de la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2024 (LFSS 2024). Que dit cet article ?… [Lire la suite]




Sessions et formations à ne pas louper aux congrès des JESFC



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Le congrès des JESFC sera tourné cette année vers le numérique et l’intelligence artificielle. Deux sessions communes (SFC-SNC et SFC-CNCF) représentant la cardiologie de ville seront organisées durant ce congrès qui se déroulera à Paris du 15 au 17 janvier 2025.

Pour ceux qui ne sont pas encore inscrits, il existe une multitude de formation validant le développement professionnel continue, une excellente façon de se former et d’assister à un congrès en bénéficiant d’un dédommagement financier.

Les formations sont riches et variées

  • le bon usage de l’échographie et de l’imagerie dans l’insuffisance cardiaque,
  • la prise en charge de l’hypertension sévère,
  • cœur et sport,
  • l’IRM cardiaque,
  • cœur et psychologie,
  • prise en charge des cardiomyopathies,
  • prise en charge des valvulopathies,
  • l’utilisation de l’intelligence artificielle en cardiologie,
  • la pratique du numérique en cardiologie…

Il y aura également des ateliers de simulation ouvert à tous comme

  • la prise en charge des urgences cardiaques en simulation Immersive.
  • le perfectionnement en ETO sur mannequin,
  • des ateliers pour mieux utiliser l’intelligence artificielle.

Plusieurs thèmes seront abordés à travers des sessions riches

  • les soins primaires en cardiologie, qui abordera la collaboration entre les médecins généralistes et les Cardiologues,
  • un thème sur comment se prémunir du risque médico-légal,
  • un thème sur l’utilisation de l’imagerie pour la détection d’une coronaropathie avec le CNCF.
  • un thème sur comment utiliser l’IA dans les cabinets libéraux, fait par le SNC (Syndicat national cardiologues).

Et surtout n’hésitez pas à venir nous voir sur le stand du syndicat pour échanger sur notre métier

Marc Villacèque

Pour s’inscrire aux formations


Programme DPC et inscription

© JESFC




Des dépenses de santé en augmentation



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La dépense courante de santé augmente de 3,5 % en France en 2023, à 325 milliards d’euros. Elle est portée par la forte hausse de la consommation de soins et de biens médicaux (CSBM) et des dépenses de soins de longue durée qui contrebalancent la chute des dépenses de prévention.

L’année 2023 marque un retour à la normale après la crise sanitaire (arrêt de la plupart des dépenses exceptionnelles liées au Covid-19, notamment dépistage et vaccination). La consommation de soins et de biens médicaux (CSBM) est plus dynamique en 2023 qu’avant la crise, portée par la consommation de soins hospitaliers (+5,7 %), de soins ambulatoires (+5,7I%) et de médicaments (+3,1I%).

Hausse des coûts à l’hôpital public… et des volumes dans le privé

Les dépenses de soins hospitaliers atteignent 122 milliards d’euros (Mds €), soit 49 % de la CSBM (+2 % par rapport à 2019). À l’hôpital public, les prix des soins augmentent de 3,6 % contre 0,4 % en cliniques privées (forte hausse des rémunérations à l’hôpital public en 2023 et répercussion des hausses de prix de l’énergie de 2022).

Dans le secteur privé, la hausse des prix de l’énergie ne s’est pas traduite par une hausse des prix des soins.

Toutefois, en volume, les soins augmentent fortement dans le secteur privé (+6,3 %) et beaucoup moins dans le secteur public (+1,8 %). Le dynamisme des soins hospitaliers en cliniques privées se confirme en 2023 : le volume d’activité est supérieur de 16 % à celui de 2019. À l’hôpital public, le volume d’activité demeure inférieur de 5 % à son niveau de 2019.

Hausse des soins chez les spécialistes

La consommation de soins ambulatoires s’établit à 72 Mds € (+ 5,7 % par rapport à 2022), portée notamment par les soins de médecins spécialistes (+6,6 % à 14,9 Mds € en 2023) qui ont progressé de 18,5 % entre 2019 et 2023 (+3,4% chez les médecins généralistes sur la même période). L’augmentation des soins courants s’explique aux trois quarts par un effet volume et pour un quart par un effet prix : le prix des soins courants n’a augmenté que de 1,6 % (contre +1,8% en 2022).

Les actes techniques représentent le premier poste des dépenses des médecins spécialistes (hors MG), atteignant 45 % du total en 2023, contre 33 % pour les consultations, visites et téléconsultations.

L’imagerie médicale, l’ophtalmologie, la cardiologie et la médecine vasculaire, la neuropsychiatrie et la psychiatrie représentent près de la moitié des dépenses de soins de médecins spécialistes.

La part des dépassements dans les honoraires des médecins spécialistes augmente depuis 2020.

En 2023, les dépassements d’honoraires représentent 17,1 % des honoraires des médecins spécialistes (hors MG), après avoir été quasiment stables entre 2011 et 2020. Les dépassements augmentent plus fortement que le reste des honoraires : +13,7 % en 2023, après +5,8 % en 2022 et +16,4 % en 2021.

La France toujours bien classée

La France est le deuxième pays européen pour les dépenses de santé, derrière l’Allemagne (11,8 % du PIB contre 12,6). Le reste à charge pour les ménages est l’un des plus faibles au sein de l’OCDE (274€/an/habitant soit 9,2 % de leurs dépenses de soins pour les Français contre 9,1I% pour les Croates et 8,7I% pour les Luxembourgeois).

En 2023, la consommation de soins de médecins spécialistes en ville (hors MG) est couverte à hauteur de 69,3 % par la Sécurité sociale, 0,2 % par l’État, et 19,3 % par les organismes complémentaires.

Les ménages financent 11,1I% de ces soins. Au cours des dix dernières années, la part qu’ils financent a progressé en moyenne de 2,2 % par an, contre 3,8 % pour la Sécurité sociale et 2,5 % pour les organismes complémentaires.

Zoom sur la cardiologie

En 2023, les soins de cardiologie et de médecine vasculaire en ville se montent à environ 1,5 Md € (+ 9,7 %), soit presque 10% des dépenses en médecine spécialiste de ville.

Les dépassements d’honoraires des cardiologues et des médecins vasculaires ont augmenté d’environ 23 %, mais leur part dans les honoraires n’est que de 7 %, parmi les plus basses constatées.

 

Nathalie Zenou


Consultez le rapport de la DREES

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Comment récupérer trois ans d’imposition ?

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(What’s up Doc?) La nouvelle convention médicale prévoit, à partir de janvier 2025, une baisse des majorations pour les consultations non programmées. Les médecins de montagne, concernés par ce changement, menacent de ne plus exercer les week-ends et jours fériés…[Lire la suite]




Une maladie d' »origine inconnue » fait plusieurs dizaines de morts en République démocratique du Congo

(franceinfo:) Une équipe médicale a été envoyée dans la zone de santé infectée, alors que des analyses sont attendues pour identifier la maladie… [Lire la suite]




Motions de censure : la fin du PLFSS 2025 ?

(Medscape – Jean-Bernard Gervais) Pour la première fois en 14 ans, le 27 novembre dernier, les sept sénateurs et sept députés de la commission mixte paritaire (CMP) étaient arrivés à un accord; un accord au sujet d’une version du projet de loi de financement de la sécurité sociale 2025 (PLFSS 2025)… [Lire la suite]




Une femme médecin sur deux a été victime de violences sexistes et sexuelles, selon le Cnom

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Sarah Bardin, victime d’un AVC à 29 ans : « Il a fallu que je bataille aux portes de la mort pour qu’on me croie »

(What’s up Doc?) Sarah Bardin avait 29 ans lorsqu’elle a été victime d’un AVC. Dans son livre, intitulé Réparée, elle raconte son histoire, les erreurs commises par les soignants et son combat pour se reconstruire… [Lire la suite]




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(What’s up Doc?) En cas de censure cette semaine du gouvernement de Michel Barnier, l’absence de budget de la Sécurité sociale ne l’empêchera pas brutalement de fonctionner début janvier. Mais un certain nombre de casse-têtes juridiques et politiques vont très vite se poser… [Lire la suite]




L’IA générative en santé « made in France » sur les rails

(Tic Pharma – Wassinia Zirar) L’intelligence artificielle (IA) générative est la dernière révolution numérique avec laquelle il faut composer. En santé, l’enjeu est de faire de l’IA générative dans un cadre souverain et sécurisé… [Lire la suite]




Quel impact des micro- et nano-plastiques sur la santé humaine ?

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Diabétiques : les avantages d’une baisse intense de la pression artérielle sont confirmés

(Medscape – Sue Hughes) Une thérapie intensive visant à abaisser la pression artérielle systolique à 120 mm Hg chez les patients atteints de diabète de type 2 a permis de réduire le risque d’événements cardiovasculaires par rapport à une approche thérapeutique standard dans le cadre de l’essai BPROAD [Lire la suite]




Journée mondiale du lutte contre le sida : en France, 200 000 personnes vivent avec le VIH, le dépistage encore trop tardif

C’était la journée mondiale de lutte contre le sida, dimanche 1er décembre. La lutte contre le VIH et le sida progresse dans le monde, même si la fin de l’épidémie reste lointaine. En France, l’an dernier, près de 5 500 personnes ont découvert leur séropositivité grâce notamment à l’intensification des campagnes de détection… [Lire la suite]




Les Anglais ont voté ! L’aide à mourir adoptée par le parlement

(Whats’up Doc?) Les députés britanniques ont approuvé vendredi 29 novembre en première lecture lors d’un vote historique la légalisation d’une aide à mourir pour certains malades en phase terminale d’une maladie n’ayant que six mois ou moins à vivre… [Lire la suite]




Epidémie de corruption dans le système de santé en Croatie : le ministre de la santé arrêté

(What’s up Doc?) Avec l’arrestation de plusieurs personnes, dont le ministre de la Santé, la Croatie ne peut plus fermer les yeux sur la corruption qui gangrène les marchés publics et les hôpitaux, au prix de la santé des patients et d’une colère sourde de la population… [Lire la suite]




Des taxis bloquent la circulation dans une trentaine de départements pour protester contre les nouveaux tarifs des transports de patients

(Le Monde – AFP) Des opérations escargots ont commencé aux abords de Lyon, Marseille et Toulon, et sont aussi prévues à Paris pour s’opposer à la nouvelle convention en cours de négociation avec l’Assurance-maladie, avec laquelle le tarif passerait de 1,50 à 1 euro par kilomètre… [Lire la suite]




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