Pénurie de soignants, un défi européen
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Voir également notre article sur le PLFSS 2023
Le PLFSS a pour objectif de répondre aux enjeux quotidiens des Français en matière de santé et de protection sociale. Le texte proposé vise à permettre de trouver plus facilement un médecin traitant, d’attendre moins longtemps aux urgences, de trouver une aide à domicile pour un proche âgé ou en situation de handicap, de bénéficier d’un mode d’accueil pour son enfant, d’être mieux soutenue en tant que famille monoparentale, ou encore de faciliter ses déclarations URSSAF en tant qu’entrepreneur…
Construire la société du bien vieillir chez soi
La population française vieillit. Si une personne sur cinq est aujourd’hui âgée de plus de 65 ans, ce sera 1 sur 4 dans 10 ans. Les Français souhaitant rester chez eux le plus longtemps possible, le Gouvernement entend réformer le financement des services proposant des soins infirmiers à domicile pour les personnes âgées et en situation de handicap.
Par ailleurs, les EHPAD devront être modernisés et davantage médicalisés pour mieux accompagner les résidents. Le gouvernement prévoir ainsi 50 000 professionnels soignants supplémentaires.
Principales mesures proposées par le PLFSS
Le PLFSS 2023 développe la prévention et l’étend aux adultes en proposant des rendez-vous de prévention à plusieurs âges-clés de la vie (20-25 ans, 40-45 ans, 60-65 ans).
Parmi les mesures proposées :
ans le prolongement de « Ma Santé 2022 » et de la loi relative à l’organisation et à la transformation du système de santé, ce PLFSS prévoit des mesures pour améliorer l’accès à la santé sur l’ensemble du territoire.
Les conventions entre les professionnels de santé et l’Assurance-maladie devraient être rénovées pour tenir compte des spécificités de leur mode d’exercice libéral et garantir des remboursements correspondant aux tarifs des soins. Pour mémoire, la signature de la prochaine convention médicale devrait intervenir au plus tard en mars 2023.
De plus, le gouvernement souhaite harmoniser les dispositifs d’aide à l’installation des médecins dans les zones les plus fragiles.
Principales mesures concernant l’accès aux soins
©lightsource – Depositphotos
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Les députés ont adopté le 31 octobre dernier en première lecture le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2018. Difficile de rendre comptes des 76 articles (contre 57 dans le texte initial) du texte qui a été transmis au Sénat. Nous nous en tiendrons donc aux plus marquants, en particulier à ceux qui concernant de près la médecine libérale.
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Plusieurs dispositions contenues dans le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2018 ont obtenu le satisfecit des médecins libéraux. A commencer, bien sûr, par la suppression de l’obligation du tiers-payant généralisé au 30 novembre de cette année.
Le nouveau cadre de financement des expérimentations organisationnelles ou le basculement des actes de téléexpertise et de téléconsultation dans le financement de droit commun ont été également favorablement accueillis.
En revanche, malgré un ONDAM à 2,3 %, en hausse par rapport à 2017, le plan d’économies drastique imposé par le Gouvernement fait grincer des dents.
A lire :
Un « fonds pour l’innovation du système de santé »
Suppression du tiers-payant généralisé – une victoire syndicale
En votant le PLFSS, les députés ont adopté un amendement qui assouplit les conditions d’affiliation au régime d’Assurance Maladie des Praticiens et Auxiliaires Médicaux Conventionnés (PAMC) afin de faciliter l’installation des jeunes médecins et les démarches de remplacement. Cet amendement du Gouvernement supprime en effet la condition imposant un délai préalable d’exercice non salarié avant d’être affilié au régime des PAMC. Par ailleurs, il uniformise « les règles permettant d’affilier les étudiants en médecine non thésés autorisés à pratiquer des remplacements afin de faciliter là-aussi ce mode d’exercice », entre le risque maladie, géré dans le cadre ru régime des PAMC, et le risque vieillesse, géré par la CARMF. « Les praticiens concernés pourront s’ouvrir des droits retraite comptabilisés dans le même cadre que leur future activité », a précisé le Gouvernement en présentant cet amendement.
En votant le PLFSS, les députés ont adopté un amendement qui assouplit les conditions d’affiliation au régime d’Assurance Maladie des Praticiens et Auxiliaires Médicaux Conventionnés (PAMC) afin de faciliter l’installation des jeunes médecins et les démarches de remplacement. Cet amendement du Gouvernement supprime en effet la condition imposant un délai préalable d’exercice non salarié avant d’être affilié au régime des PAMC. Par ailleurs, il uniformise « les règles permettant d’affilier les étudiants en médecine non thésés autorisés à pratiquer des remplacements afin de faciliter là-aussi ce mode d’exercice », entre le risque maladie, géré dans le cadre ru régime des PAMC, et le risque vieillesse, géré par la CARMF. « Les praticiens concernés pourront s’ouvrir des droits retraite comptabilisés dans le même cadre que leur future activité », a précisé le Gouvernement en présentant cet amendement.