La cybersécurité en cabinet médical – Enjeux et solutions
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Les interactions entre les professionnels de santé et les industriels permettent notamment de faire avancer la recherche. Afin de prévenir les conflits d’intérêts, elles sont soumises à un cadre réglementaire strict, contrôlées par les instances ordinales et transparentes vis-à-vis du public.
Dans un rapport adopté en décembre 2022 et rendu public en février 2023, la HAS présente les conclusions d’une revue de littérature portant sur les interactions entre les médecins (y compris les étudiants) et les représentants des entreprises de santé dans le cadre de la promotion des médicaments par démarchage.
médecins – industries de santé
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1. LA LOI ANTI-CADEAUX FIXE LE CADRE DES RELATIONS ENTRE LES ENTREPRISES ET LES ACTEURS DE SANTÉ
Qu’est-ce qu’un avantage ?
Trois types de dérogations possibles
2. LES CONVENTIONS
Informations publiées
3. RÔLE DU CONSEIL DE L’ORDRE
4. PUBLICITÉ DES LIENS D’INTÉRÊTS
Le dispositif « Transparence-Santé »
Modalités de déclaration
5. AGENTS PUBLICS ET EXPERTS
Zoom sur la notion d’expertise
6. L’INFORMATION SUR LES NOUVEAUX MÉDICAMENTS : LA PROMOTION PAR DÉMARCHAGE
Qu’en dit la littérature ?
7. CHARTE DE LA VISITE MÉDICALE ET CERTIFICATION
Coordination : Nathalie Zenou
Vous pouvez nous contacter au SNC – Tél : +33 1 45 43 70 76 ou par mail
Le Cardiologue n° 451 – mars-avril 2023
© EverythingPoss – Depositphotos
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C’est lors d’un déplacement à Châlus (Haute-Vienne) où il était venu inaugurer une maison de santé, que le Premier ministre, Edouard Philippe, accompagné de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a décliné le plan gouvernemental pour « renforcer l’accès territorial aux soins », plus communément appelé « plan déserts médicaux ». Les syndicats médicaux ont salué l’aspect non coercitif des mesures annoncées mais formulent cependant des critiques et dénoncent des manques.
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« Dans mon exercice quotidien, ce qui m’est le plus pénible, c’est l’augmentation constante du travail administratif, des normes et de la réglementation, qui équivaut à une diminution du temps médical.
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« Dans mon exercice quotidien, ce qui me gêne le plus, c’est le morcellement de la prise en charge et de l’information : nous passons notre temps à chercher des informations concernant nos patients. Concernant l’organisation générale, et sans faire preuve d’originalité, je pense, je déplore la charge du travail administratif, qui prend de plus en plus de temps, sans qu’on en perçoive l’utilité.
Il me semble que la mise à disposition des médecins d’un outil de partage de l’information efficient est une priorité, comme est une priorité la mutualisation des tâches administratives. Le DMP ? Pourquoi pas, s’il est fait pour les médecins. Mais par qui et comment va-t-il être implémenté ? On ne peut pas tout y mettre et faire le tri des informations pertinentes à y inscrire implique encore du temps… Je crois davantage à l’ouverture du droit à se connecter à un système pour aller chercher l’information dont on a besoin, une messagerie sécurisée.
Pour résoudre le problème du travail administratif, avoir une personne dédiée à ces tâches représente une lourde charge à l’échelle d’un cabinet de six ou sept personnes. Mais cela devient possible si la charge est mutualisée entre plusieurs cabinets. Cela me paraît une bonne piste. »
Interview de Vincent Pradeau (46 ans), cardiologue libéral à Cenon (Gironde)
En complément des études quantitatives menées sur différents aspects de la profession, l’URPS Médecins libéraux d’Ile-de-France a souhaité réaliser une enquête qualitative auprès des médecins franciliens (*), destinée à mesurer l’impact de l’évolution de certains facteurs sur la perception de leur exercice.
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