(Medscape – Vincent Richeux) Pour maîtriser les dépenses de l’assurance maladie et limiter les mésusages, les hypolipémiants anti-PCSK9 alirocumab (Praluent®) et evolocumab (Repatha®) sont désormais soumis à une demande d’accord préalable (DAP). Les indications remboursables étant restreintes par rapport à celles de l’autorisation de mise sur le marché (AMM), une session des Journées Européennes de la Société Française de Cardiologie (JESFC 2022) a fait le point, notamment sur la démarche à suivre pour éviter un refus de prise en charge pour les patients éligibles[1]… [Lire la suite]