Ma santé 2022 : fin du numerus clausus et de la PACES

La réforme du premier cycle des études médicales est incluse dans le plan « Ma santé 2022 ».

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Ma santé 2022 : assistant(e) médical(e), un nouveau métier

Dégager du temps médical dans leur exercice est une revendication de longue date de la part des médecins.

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Cardiologues, qui êtes-vous ? – Enquête

Pour appuyer la demande de révision de la maquette du DES, que la profession juge inadaptée à une formation complète des futurs cardiologues, le Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux (SNSMCV) a voulu avoir une « photographie » de la cardiologie de ville. Pour cela, il a réalisé une enquête auprès des cardiologues libéraux, qui ont été nombreux à répondre. 

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Cardiologues, qui êtes-vous ? – Résultats de notre enquête

L’enquête en chiffres du Syndicat National des Spécialistes des Maladies du Cœur et des Vaisseaux (SNSMCV) réalisé auprès des cardiologues libéraux.

Exercice en clinique privée

 

Exercice en hôpital public

 

Distance premier plateau technique invasif

 

Délai moyen de rendez-vous
en jours

Pour une consultation 75 j
Pour une échocardiographie 57 j
Pour un geste technique
Coronaires  (hors urgence) 17 j
Rythmologiques 20 j
Structurales (TAVI) 33 j

 

Modalités d’exercice
nombre par semaine et % approximatif

½ journées de travail 9
Patients vus en consultation 72
Patients adressés par médecin traitant 70 %

 

Activités de garde
Non 53 %
Permanence des soins 19 %
Garde en USIC 17 %
Astreintes interventionnelles 11 %

 

Type de patientèle
Suivi de pathologie chronique stable 50 %
Prévention primaire  18 %
Affection récente ou aiguë 13 %
Pathologie chronique décompensée 12 %
Consultation urgente 7 %

 

Durée moyenne d’une consultation
27 minutes

 

Nombre d’explorations non invasives

par semaine (en moyenne)
Echocardiographie (hors nul 6,5 % soit 46 sur 706) 32
Holter (hors nul 6,5 % soit 46 sur 706) 7
MAPA (hors nul 17 % soit 117 sur 706) 5
Test d’effort avec VO2 (hors nul 86 % soit 610 sur 706) 5
Echo d’effort et/ou stress (hors nul 75 % soit 527 sur 706) 7
Polysomnographie (hors nul 72 % soit 509 sur 706) 3,5
Echodoppler vasculaire (hors nul 54% soit 382 sur 706) 13

 

Nombre d’explorations invasives

par semaine (en moyenne)

Coronarographie/angioplastie (hors nul 71 % soit 500 sur 706) 26
Cardiologie structurale (hors nul 84% soit 595 sur 706) 7,5
Pacemaker/DAI (hors nul 73 % soit 513 sur 706) 12
Ablation (hors nul 80% soit 561 sur 706) 12

 

Et si c’était à refaire…

Choisiriez-vous la cardiologie ?

Conseilleriez-vous à vos enfants
de devenir cardiologue ?




Cardiologues, qui êtes-vous ? – La photographie de Jean-Pierre Binon

Incertitude sur la relève, activité, exercice hospitalier et délais de rendez-vous, la photographie des cardiologues par le président du SNSMCV.

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Cardiologues, qui êtes-vous ? – Entretien Richard Isnard

Le président du Collège National des Enseignants de Cardiologie démontre que la réforme du DES de cardiologie, qui a maintenu la durée du socle commun de formation à 4 ans, contraindrait les futurs cardiologues à devoir accumuler plus de compétences en un temps plus restreint qu’auparavant.

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Cardiologues, qui êtes-vous ? – Le profil des répondants

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La recertification, c’est l’affaire des médecins !

En attendant que la mission Uzan, pilotée par un comité qui ne compte aucun représentant des médecins de ville, rende son rapport, les médecins libéraux disent ce que doit être la recertification selon eux et, surtout, ce qu’elle ne doit pas être.

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Jean-Paul Hamon « Nous ne retournerons pas à la fac ! »

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Philippe Vermesch : « Pas question de passer un examen universitaire »

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Jean-Paul Ortiz : « Les médecins doivent être maîtres de la recertification »

Le président  de la CSMF précise la façon dont la confédération envisage la recertification.

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Qualité et pertinence des soins : le chantier est ouvert !

La qualité des soins n’est pas une idée neuve et comme le déclare le Pr Olivier Goëau-Brissonière, président de la Fédération des Spécialités Médicales (FSM), « les soins sont déjà de qualité ». La pertinence des soins est une notion plus récente et qui peut se résumer ainsi : le bon soin, à la bonne personne, au bon moment. Ce qui n’est pas toujours le cas, et si aucune étude ne permet de quantifier précisément la non-pertinence des soins en France, on estime entre un quart et un tiers les soins non pertinents. Ces soins non pertinents sont au mieux inutiles pour les patients, au pire nuisibles, mais dans tous les cas, ils ont un coût, lui aussi inutile. Autant de raisons pour le gouvernement de faire de la qualité et de la pertinence des soins un des cinq chantiers de sa Stratégie de transformation de notre système de santé. L’ouverture de ce chantier est l’occasion pour Le Cardiologue de demander à des experts quelles conditions devront être réunies pour que la démarche de pertinence des soins soit une réussite.

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Qualité et pertinence des soins – Projeter les référentiels dans la réalité du terrain

Entretien avec Patrick Gasser, président des Spécialistes CSMF, qui estime que les « programmes pertinence » qui seront élaborés par les CNP ne devront pas s’éloigner du terrain, sous peine de n’être pas suivis.

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Qualité et pertinence des soins – Les patients doivent être associés aux travaux sur la pertinence

Pour Olivier Goëau-Brissonière, président de la Fédération des Spécialités Médicales (FSM) qui réunit l’ensemble des Conseils Nationaux Professionnels (CNP), la recherche de la pertinence des soins doit impérativement se faire en associant les patients. L’ouverture de ce chantier sur la qualité et la pertinence des soins vous semble-t-elle… pertinente ?

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Le « Choosing Wisely », la pertinence des soins à l’américaine

C’est en 2012 qu’a été créé aux Etats-Unis le Choosing Wisely, que l’on peut traduire par « choisir avec soin », et dont l’objectif est de prescrire moins et à meilleur escient les examens complémentaires, les médicaments et les traitements médiaux ou chirurgicaux. 

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Qualité et pertinence des soins – Jean de Kervasdoué

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Affiliation à la CARMF des internes remplaçants : oui, mais pas comme ça !

L’obligation faite aux internes remplaçants thésés ou non, depuis le 1er janvier, de s’acquitter d’une cotisation CARMF de 3 133 euros sème la panique parmi eux. Si leurs syndicats réclamaient de longue date la possibilité pour les internes remplaçants d’être affiliés à la CARMF, ils contestent son caractère forfaitaire et obligatoire et demandent que cette cotisation soit proportionnée à l’activité de remplacement.

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Affiliation à la CARMF des internes remplaçants : Les aînés soutiennent leurs cadets

La CSMF  dénonce l’amendement gouvernemental introduit « en catimini et sans concertation avec la profession » et « se joint à l’indignation des syndicats d’internes ».

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Télésurveillance de l’IC : la solution Newcard

Newcard, société fondée par le Dr Grégory Perrard, développe le service de télésurveillance de l’insuffisance cardiaque appelé « 1 Minute pour mon Cœur ».Parmi les premières solutions nationales agréées par le ministère de la Santé, elle est à ce jour parfaitement opérationnelle.

Le développement des objets connectés a incité les professionnels de santé à s’y intéresser de plus près. Le Syndicat des Spécialistes des maladies du Cœur et des Vaisseaux (SNSMCV), dans son rôle de force de proposition pour l’avenir de la profession, s’est doté, en 2014, d’une commission numérique afin de réfléchir à ce que pouvait apporter la santé connectée dans leur pratique quotidienne. Accompagné de confrères cardiologues et soutenu par le SNSMCV, le Dr Gregory Perrard a concrétisé cette réflexion en créant une start-up apportant une solution opérationnelle pour le suivi à domicile des patients insuffisants cardiaques. « J’ai des liens avec des créateurs de start-up, il fallait qu’on se lance, raconte-t-il. Fin 2015, le projet Newcard est né et a été retenu par l’incubateur de start-up lillois Eurasanté. Cela a été le vrai départ et à l’été 2016 la société Newcard a été officiellement créée. »

A la fin de cette même année, le ministère de la Santé a publié le cahier des charges concernant l’expérimentation nationale de télésurveillance de l’insuffisance cardiaque. « Toutes nos solutions ont été strictement développées à partir de ce cahier des charges, souligne Gregory Perrard. Nous venons d’obtenir le dernier feu vert, celui de la CNIL, et nous sommes maintenant en capacité de mettre en place une télésurveillance de l’IC dans la France entière. »

Le service, qui s’appelle « 1 Minute pour mon Cœur » est donc tout à fait opérationnel. Avec une file active d’environ 200 personnes depuis le début de l’expérimentation, Newcard suit aujourd’hui une cinquantaine de patients. « Mais c’est un chiffre qui augmente tous les jours, précise Gregory Perrard. Plus d’une centaine de cardiologues ont adhéré à notre dispositif et actuellement, de nouveaux cardiologues s’inscrivent tous les jours. »

Newcard, la première solution agréée
Concrètement, comment fonctionne « 1 Minute pour mon Cœur » ? Lorsqu’un cardiologue estime qu’un de ses patients insuffisants cardiaques peut bénéficier du dispositif de télésurveillance, il l’inscrit sur la plateforme Newcard.

Un patient peut être inclus dans les 30 jours après une hospitalisation liée à une insuffisance cardiaque ou dans les 12 mois (dans ce cadre 2 critères supplémentaires sont nécessaires : une dyspnée stade NYHA > ou égal à 2 et un taux de BNP > à 100 ou un taux de NT PRO BNP > à 1 000. La société contacte le patient, installe à son domicile le matériel nécessaire et surtout, le forme. « C’est un point essentiel pour l’observance », insiste Gregory Perrard. Le matériel consiste en une balance connectée, un tensiomètre et une tablette. Il est demandé au patient de prendre ses mesures une fois par jour, tous les jours. « Nous avons une tolérance de trois jours, explique Gregory Perrard. Après trois jours sans mesure du patient, nous l’appelons. »

Les données sont automatiquement envoyées vers une base de données sécurisée où tourne en permanence un algorithme. « C’est l’algorithme qui exerce la surveillance basée sur les données objectives issus des objets connectés explique Gregory Perrard. Compte tenu que l’on estime à 200 000, le nombre de personnes potentiellement télésurveillables, cette automatisation est indispensable. Notre volonté est en effet de pouvoir proposer une télésurveillance à tout patient éligible où qu’il soit en France »

Si aucune anomalie n’est repérée, Newcard informe régulièrement le cardiologue du bon suivi de ses patients. Il a surtout un accès permanent aux données de son patient sur la plateforme ce qui s’avère très utile pour optimiser le suivi du patient : notamment lors des consultations habituelles.

Si l’algorithme décèle une anomalie, le cardiologue est prévenu par mail. Il a alors 48 heures (72 heures pendant les week-end) pour répondre. « S’il ne répond pas, nous contactons un autre cardiologue ou un établissement qu’il nous a désigné lors de son inscription. C’est primordial pour nous : une alerte = une réponse, souligne Gregory Perrard. Il faut être certain que l’alerte est honorée par l’intervention humaine. »

Newcard prend le même soin à s’assurer de l’accompagnement thérapeutique du patient. « Nous demandons au cardiologue quelle est la solution sur laquelle il souhaite s’appuyer. S’il n’en pas, nous lui en proposons une proche de chez lui. Et à cet égard, je veux souligner que nous ne sommes pas en concurrence avec les réseaux d’insuffisance cardiaque déjà en place, mais au contraire très désireux de travailler avec eux pour l’accompagnement thérapeutique. »

L’inclusion d’un patient dans l’expérimentation se fait pour six mois ; elle est renouvelable, bien sûr, si le patient répond toujours aux critères d’inclusion. La rémunération du cardiologue est de 110 euros par patient et par semestre ; rémunération qui n’interfère évidemment pas avec celle des autres actes et consultations présentielles. Une rémunération de 60 euros par semestre est prévue pour l’accompagnement thérapeutique. Evidemment, le service est totalement pris en charge pour le patient dans le cadre de son ALD.

Contact
Pour plus d’information, vous pouvez contacter Newcard – Contact mail
Site internet : newcard




Tourmente numérique : le débat

« Le médecin et le patient dans le monde des datas, des robots, des algorithmes et l’intelligence artificielle. » C’est sur ce thème que, dans le prolongement de son Livre Blanc, l’Ordre a organisé un débat il y a quelques semaines. Verbatim.

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Jacques Lucas (CNOM) : « La formation des médecins doit inclure le numérique »

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Médecins et patients : la tourmente du numérique

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Négociation conventionnelle : un avenant décisif pour la télémédecine

La deuxième année de fonctionnement de la dernière convention médicale voit revenir autour de la table les syndicats représentatifs signataires (MG France, FMF, Le Bloc, SML) et la CSMF non signataire, pour négocier un avenant portant sur la télémédecine et plus précisément sur les actes de téléconsultations et de téléexpertise.

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Négociation conventionnelle : pourquoi le SML a rallié la convention

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Négociation conventionnelle : compensation de la CSG, autre dossier chaud

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Négociation conventionnelle : entretien Jean-Paul Ortiz

« Il faut donner aux libéraux des moyens à la hauteur de l’enjeu qu’est la télémédecine  »

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Les spécialistes préparent leur avenir

La branche spécialiste de la CSMF (l’UMESPE) a tenu le 25 novembre dernier à Paris les Etats généraux de la médecine spécialisée au cours desquels les libéraux ont exploré plusieurs modèles d’organisation innovante : délégations de tâches encadrées, centres de soins ambulatoires, réseau de professionnels autour de parcours personnalisés… Les spécialistes libéraux revendiquent leur place dans la médecine de proximité au sein d’une organisation repensée de notre système de santé.

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Les MVZ, des MSP à l’allemande

Dans beaucoup de pays on assiste depuis plusieurs années déjà à l’éclosion de structures de proximité, apparemment à contre-courant d’une certaine « industrialisation » de la santé, qui s’est manifestée par une recherche de productivité, des fusions et regroupements d’établissements hospitaliers, mais plus adaptée à la prise en charge de proximité des patients, particulièrement des patients chroniques et poly-pathologiques. 

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Patrick Gasser : « Nous ne pouvons pas rester à l’extérieur de la Convention  »

Le président de l’UMESPE ne souhaite pas rester en dehors de la Convention. Mais le ralliement de la CSMF ne se fera que si ses propositions sont entendues.

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PLFSS 2018 : ONDAM à 2,3 %, oui mais…

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PLFSS 2018 : un « fonds pour l’innovation du système de santé »

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PLFSS 2018 : suppression du tiers-payant généralisé – une victoire syndicale

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L’essentiel du PLFSS

Les députés ont adopté le 31 octobre dernier en première lecture le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2018. Difficile de rendre comptes des 76 articles (contre 57 dans le texte initial) du texte qui a été transmis au Sénat. Nous nous en tiendrons donc aux plus marquants, en particulier à ceux qui concernant de près la médecine libérale. 

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PLFSS 2018 : des bonnes nouvelles et des moins bonnes…

Plusieurs dispositions contenues dans le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2018 ont obtenu le satisfecit des médecins libéraux. A commencer, bien sûr, par la suppression de l’obligation du tiers-payant généralisé au 30 novembre de cette année.

Le nouveau cadre de financement des expérimentations organisationnelles ou le basculement des actes de téléexpertise et de téléconsultation dans le financement de droit commun ont été également favorablement accueillis.

En revanche, malgré un ONDAM à 2,3 %, en hausse par rapport à 2017, le plan d’économies drastique imposé par le Gouvernement fait grincer des dents.

A lire :

L’essentiel du PLFSS

Un « fonds pour l’innovation du système de santé »

Suppression du tiers-payant généralisé – une victoire syndicale

ONDAM à 2,3 %, oui mais…




Déserts médicaux : le Gouvernement déroule son plan

C’est lors d’un déplacement à Châlus (Haute-Vienne) où il était venu  inaugurer une maison de santé, que le Premier ministre, Edouard Philippe, accompagné de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a décliné le plan gouvernemental pour « renforcer l’accès territorial aux soins », plus communément appelé « plan déserts médicaux ». Les syndicats médicaux ont salué l’aspect non coercitif des mesures annoncées mais formulent cependant des critiques et dénoncent des manques.

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Déserts médicaux : syndicats médicaux plutôt satisfaits, mais…

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PLFSS : faciliter l’installation et les démarches de remplacement des jeunes médecins

En votant le PLFSS, les députés ont adopté un amendement qui assouplit les conditions d’affiliation au régime d’Assurance Maladie des Praticiens et Auxiliaires Médicaux Conventionnés (PAMC) afin de faciliter l’installation des jeunes médecins et les démarches de remplacement. Cet amendement du Gouvernement supprime en effet la condition imposant un délai préalable d’exercice non salarié avant d’être affilié au régime des PAMC. Par ailleurs, il uniformise « les règles permettant d’affilier les étudiants en médecine non thésés autorisés à pratiquer des remplacements afin de faciliter là-aussi ce mode d’exercice », entre le risque maladie, géré dans le cadre ru régime des PAMC, et le risque vieillesse, géré par la CARMF. « Les praticiens concernés pourront s’ouvrir des droits retraite comptabilisés dans le même cadre que leur future activité », a précisé le Gouvernement en présentant cet amendement.




PLFSS : un amendement pour faciliter l’installation et le remplacement des jeunes médecins

En votant le PLFSS, les députés ont adopté un amendement qui assouplit les conditions d’affiliation au régime d’Assurance Maladie des Praticiens et Auxiliaires Médicaux Conventionnés (PAMC) afin de faciliter l’installation des jeunes médecins et les démarches de remplacement. Cet amendement du Gouvernement supprime en effet la condition imposant un délai préalable d’exercice non salarié avant d’être affilié au régime des PAMC. Par ailleurs, il uniformise « les règles permettant d’affilier les étudiants en médecine non thésés autorisés à pratiquer des remplacements afin de faciliter là-aussi ce mode d’exercice », entre le risque maladie, géré dans le cadre ru régime des PAMC, et le risque vieillesse, géré par la CARMF. « Les praticiens concernés pourront s’ouvrir des droits retraite comptabilisés dans le même cadre que leur future activité », a précisé le Gouvernement en présentant cet amendement.




Les feuilles de route de la rentrée…

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Le projet de l’UMESPE pour l’avenir de la médecine spécialisée

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Les feuilles de route de la rentrée… Entretien avec Patrick Gasser

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Les feuilles de route de la rentrée… la FMF

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Réforme du 3e cycle – Conflit autour de la durée de formation

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Réforme du 3e cycle – Les doyens et les présidents de CME veulent rouvrir la concertation

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Réforme du 3e cycle – « Une réforme bâclée dictée par des considérations comptables »

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Réforme du 3e cycle – « Devenir cardiologue interventionnel ou rythmologue en un an, c’est impossible ! »

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ESP, CPTS, PTA : le “virage ambulatoire” n’est pas aisé à négocier

Derrière ces sigles se cachent les nouvelles structures instaurées par la loi santé de janvier 2016 destinées à accompagner le « virage ambulatoire », leitmotiv du quinquennat qui s’achève.

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Entretien Patrick Gasser : « Les spécialistes veulent retrouver la place qu’on leur a volée »

Pour le président de l’Union des MEdecins SPEcialises (UMESPE) de la CSMF, la mise en place des CPTS et des PTA doit être l’occasion pour les spécialistes libéraux de reconquérir le terrain perdu.

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Les ESP à l’échelle de la patientèle

Selon la loi, l’Equipe de Soins Primaires est « un ensemble de professionnels de santé constitué autour de médecins généralistes de premier recours ».

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Plateformes Territoriales d’Appui (PTA)

Les Plateformes Territoriales d’Appui sont « un soutien pour les professionnels dans l’organisation des parcours de santé complexes ».

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