Ma santé 2022 : fin du numerus clausus et de la PACES
La réforme du premier cycle des études médicales est incluse dans le plan « Ma santé 2022 ».
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Pour une consultation | 75 j |
Pour une échocardiographie | 57 j |
Pour un geste technique | |
Coronaires (hors urgence) | 17 j |
Rythmologiques | 20 j |
Structurales (TAVI) | 33 j |
½ journées de travail | 9 |
Patients vus en consultation | 72 |
Patients adressés par médecin traitant | 70 % |
Activités de garde | |
Non | 53 % |
Permanence des soins | 19 % |
Garde en USIC | 17 % |
Astreintes interventionnelles | 11 % |
Type de patientèle | |
Suivi de pathologie chronique stable | 50 % |
Prévention primaire | 18 % |
Affection récente ou aiguë | 13 % |
Pathologie chronique décompensée | 12 % |
Consultation urgente | 7 % |
Durée moyenne d’une consultation | |
27 minutes |
Echocardiographie (hors nul 6,5 % soit 46 sur 706) | 32 |
Holter (hors nul 6,5 % soit 46 sur 706) | 7 |
MAPA (hors nul 17 % soit 117 sur 706) | 5 |
Test d’effort avec VO2 (hors nul 86 % soit 610 sur 706) | 5 |
Echo d’effort et/ou stress (hors nul 75 % soit 527 sur 706) | 7 |
Polysomnographie (hors nul 72 % soit 509 sur 706) | 3,5 |
Echodoppler vasculaire (hors nul 54% soit 382 sur 706) | 13 |
Coronarographie/angioplastie (hors nul 71 % soit 500 sur 706) | 26 |
Cardiologie structurale (hors nul 84% soit 595 sur 706) | 7,5 |
Pacemaker/DAI (hors nul 73 % soit 513 sur 706) | 12 |
Ablation (hors nul 80% soit 561 sur 706) | 12 |
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Le développement des objets connectés a incité les professionnels de santé à s’y intéresser de plus près. Le Syndicat des Spécialistes des maladies du Cœur et des Vaisseaux (SNSMCV), dans son rôle de force de proposition pour l’avenir de la profession, s’est doté, en 2014, d’une commission numérique afin de réfléchir à ce que pouvait apporter la santé connectée dans leur pratique quotidienne. Accompagné de confrères cardiologues et soutenu par le SNSMCV, le Dr Gregory Perrard a concrétisé cette réflexion en créant une start-up apportant une solution opérationnelle pour le suivi à domicile des patients insuffisants cardiaques. « J’ai des liens avec des créateurs de start-up, il fallait qu’on se lance, raconte-t-il. Fin 2015, le projet Newcard est né et a été retenu par l’incubateur de start-up lillois Eurasanté. Cela a été le vrai départ et à l’été 2016 la société Newcard a été officiellement créée. »
A la fin de cette même année, le ministère de la Santé a publié le cahier des charges concernant l’expérimentation nationale de télésurveillance de l’insuffisance cardiaque. « Toutes nos solutions ont été strictement développées à partir de ce cahier des charges, souligne Gregory Perrard. Nous venons d’obtenir le dernier feu vert, celui de la CNIL, et nous sommes maintenant en capacité de mettre en place une télésurveillance de l’IC dans la France entière. »
Le service, qui s’appelle « 1 Minute pour mon Cœur » est donc tout à fait opérationnel. Avec une file active d’environ 200 personnes depuis le début de l’expérimentation, Newcard suit aujourd’hui une cinquantaine de patients. « Mais c’est un chiffre qui augmente tous les jours, précise Gregory Perrard. Plus d’une centaine de cardiologues ont adhéré à notre dispositif et actuellement, de nouveaux cardiologues s’inscrivent tous les jours. »
Un patient peut être inclus dans les 30 jours après une hospitalisation liée à une insuffisance cardiaque ou dans les 12 mois (dans ce cadre 2 critères supplémentaires sont nécessaires : une dyspnée stade NYHA > ou égal à 2 et un taux de BNP > à 100 ou un taux de NT PRO BNP > à 1 000. La société contacte le patient, installe à son domicile le matériel nécessaire et surtout, le forme. « C’est un point essentiel pour l’observance », insiste Gregory Perrard. Le matériel consiste en une balance connectée, un tensiomètre et une tablette. Il est demandé au patient de prendre ses mesures une fois par jour, tous les jours. « Nous avons une tolérance de trois jours, explique Gregory Perrard. Après trois jours sans mesure du patient, nous l’appelons. »
Les données sont automatiquement envoyées vers une base de données sécurisée où tourne en permanence un algorithme. « C’est l’algorithme qui exerce la surveillance basée sur les données objectives issus des objets connectés explique Gregory Perrard. Compte tenu que l’on estime à 200 000, le nombre de personnes potentiellement télésurveillables, cette automatisation est indispensable. Notre volonté est en effet de pouvoir proposer une télésurveillance à tout patient éligible où qu’il soit en France »
Si aucune anomalie n’est repérée, Newcard informe régulièrement le cardiologue du bon suivi de ses patients. Il a surtout un accès permanent aux données de son patient sur la plateforme ce qui s’avère très utile pour optimiser le suivi du patient : notamment lors des consultations habituelles.
Si l’algorithme décèle une anomalie, le cardiologue est prévenu par mail. Il a alors 48 heures (72 heures pendant les week-end) pour répondre. « S’il ne répond pas, nous contactons un autre cardiologue ou un établissement qu’il nous a désigné lors de son inscription. C’est primordial pour nous : une alerte = une réponse, souligne Gregory Perrard. Il faut être certain que l’alerte est honorée par l’intervention humaine. »
Newcard prend le même soin à s’assurer de l’accompagnement thérapeutique du patient. « Nous demandons au cardiologue quelle est la solution sur laquelle il souhaite s’appuyer. S’il n’en pas, nous lui en proposons une proche de chez lui. Et à cet égard, je veux souligner que nous ne sommes pas en concurrence avec les réseaux d’insuffisance cardiaque déjà en place, mais au contraire très désireux de travailler avec eux pour l’accompagnement thérapeutique. »
L’inclusion d’un patient dans l’expérimentation se fait pour six mois ; elle est renouvelable, bien sûr, si le patient répond toujours aux critères d’inclusion. La rémunération du cardiologue est de 110 euros par patient et par semestre ; rémunération qui n’interfère évidemment pas avec celle des autres actes et consultations présentielles. Une rémunération de 60 euros par semestre est prévue pour l’accompagnement thérapeutique. Evidemment, le service est totalement pris en charge pour le patient dans le cadre de son ALD.
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Les députés ont adopté le 31 octobre dernier en première lecture le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2018. Difficile de rendre comptes des 76 articles (contre 57 dans le texte initial) du texte qui a été transmis au Sénat. Nous nous en tiendrons donc aux plus marquants, en particulier à ceux qui concernant de près la médecine libérale.
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Plusieurs dispositions contenues dans le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2018 ont obtenu le satisfecit des médecins libéraux. A commencer, bien sûr, par la suppression de l’obligation du tiers-payant généralisé au 30 novembre de cette année.
Le nouveau cadre de financement des expérimentations organisationnelles ou le basculement des actes de téléexpertise et de téléconsultation dans le financement de droit commun ont été également favorablement accueillis.
En revanche, malgré un ONDAM à 2,3 %, en hausse par rapport à 2017, le plan d’économies drastique imposé par le Gouvernement fait grincer des dents.
A lire :
Un « fonds pour l’innovation du système de santé »
Suppression du tiers-payant généralisé – une victoire syndicale
C’est lors d’un déplacement à Châlus (Haute-Vienne) où il était venu inaugurer une maison de santé, que le Premier ministre, Edouard Philippe, accompagné de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a décliné le plan gouvernemental pour « renforcer l’accès territorial aux soins », plus communément appelé « plan déserts médicaux ». Les syndicats médicaux ont salué l’aspect non coercitif des mesures annoncées mais formulent cependant des critiques et dénoncent des manques.
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En votant le PLFSS, les députés ont adopté un amendement qui assouplit les conditions d’affiliation au régime d’Assurance Maladie des Praticiens et Auxiliaires Médicaux Conventionnés (PAMC) afin de faciliter l’installation des jeunes médecins et les démarches de remplacement. Cet amendement du Gouvernement supprime en effet la condition imposant un délai préalable d’exercice non salarié avant d’être affilié au régime des PAMC. Par ailleurs, il uniformise « les règles permettant d’affilier les étudiants en médecine non thésés autorisés à pratiquer des remplacements afin de faciliter là-aussi ce mode d’exercice », entre le risque maladie, géré dans le cadre ru régime des PAMC, et le risque vieillesse, géré par la CARMF. « Les praticiens concernés pourront s’ouvrir des droits retraite comptabilisés dans le même cadre que leur future activité », a précisé le Gouvernement en présentant cet amendement.
En votant le PLFSS, les députés ont adopté un amendement qui assouplit les conditions d’affiliation au régime d’Assurance Maladie des Praticiens et Auxiliaires Médicaux Conventionnés (PAMC) afin de faciliter l’installation des jeunes médecins et les démarches de remplacement. Cet amendement du Gouvernement supprime en effet la condition imposant un délai préalable d’exercice non salarié avant d’être affilié au régime des PAMC. Par ailleurs, il uniformise « les règles permettant d’affilier les étudiants en médecine non thésés autorisés à pratiquer des remplacements afin de faciliter là-aussi ce mode d’exercice », entre le risque maladie, géré dans le cadre ru régime des PAMC, et le risque vieillesse, géré par la CARMF. « Les praticiens concernés pourront s’ouvrir des droits retraite comptabilisés dans le même cadre que leur future activité », a précisé le Gouvernement en présentant cet amendement.
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Derrière ces sigles se cachent les nouvelles structures instaurées par la loi santé de janvier 2016 destinées à accompagner le « virage ambulatoire », leitmotiv du quinquennat qui s’achève.
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Pour le président de l’Union des MEdecins SPEcialises (UMESPE) de la CSMF, la mise en place des CPTS et des PTA doit être l’occasion pour les spécialistes libéraux de reconquérir le terrain perdu.
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Selon la loi, l’Equipe de Soins Primaires est « un ensemble de professionnels de santé constitué autour de médecins généralistes de premier recours ».
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Les Plateformes Territoriales d’Appui sont « un soutien pour les professionnels dans l’organisation des parcours de santé complexes ».
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