La technologie, qu’elle soit virtuelle ou pas, avance à grand pas. Et l’impression 3D, ou plutôt la bio-impression, en fait partie. Des chercheurs de l’Université Carnegie-Mellon (Pennsylvanie) ont publié début août dans le revue Science les résultats d’une bio-impression 3D d’un cœur humain fonctionnel.
Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont procédé à une amélioration d’une technologie appelée Freeform Reversible Embedding of Suspended Hydrogels (FRESH). La bio-impression n’est pas une technique nouvelle en soi car elle existe déjà en médecine, notamment pour des greffes de peau.
Jusqu’à présent, elle était freinée par la difficulté à reproduire des biomatériaux complexes, mous et dynamiques… comme le cœur.