Depuis le lancement, le 25 mai dernier, du Ségur de la Santé par le Premier ministre, Edouard Philippe, qui a proposé que la réflexion de tous les acteurs se fasse autour de cinq grands enjeux, les discussions vont bon train et… les commentaires aussi. Si les responsables du secteur libéral ne remettent pas en cause le bien-fondé de ces cinq enjeux retenus par l’exécutif, ils considèrent que les débats sont mal partis et trop hospitalo-centrés, ce qui ne peut, selon eux, déboucher sur une réforme efficace de notre système de santé, historiquement fondé sur deux secteurs, le public et le privé, qui ne doivent définitivement plus être concurrentiels, mais complémentaires.
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