Jusqu’ici autorisé chez l’adulte ayant une hypercholestérolémie primaire (hétérozygote familiale et non familiale) ou une dyslipidémie mixte, en complément d’un régime alimentaire, en association avec d’autres hypolipémiants ou non, l’hypocholestérolémiant peut désormais être utilisé en association à un traitement hypolipémiant « optimisé » ou en monothérapie en cas de contre-indication ou d’intolérance avérée à la fois aux statines ou à l’ézétimibe, chez :
Ces deux indications concernent entre 580 et 2 637 patients.
Le prix public de l’alirocumab a été diminué de 5 % le 15 août (225,63 euros pour le stylo prérempli dosé à 150 mg et 75 mg, et à 449,43 euros pour les deux stylos préremplis aux mêmes doses et pour le stylo dosé à 300 mg).
Outre les cardiologues, les spécialistes en endocrinologe-diabétologie-nutrition/maladies métaboliques et les spécialistes en médecine interne, les spécialistes de médecine vasculaire et les neurologues peuvent également débuter et prescrire un traitement par l’alirocumab depuis le 29 avril.
En résumé, après un syndrome coronarien aigu, l’alirocumab peut être donnée seul s’il existe une intolérance aux statines où à l’ezetrol.
Nathalie Zenou
© RogerPhoto/depositphotos
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